Pour Richard Bouigue et Clément Carles, candidats PS à cause le Nouveau Front paysan à cause la 3e division, il est basal “de démasquer le Rassemblement national” et de “construire une politique davantage tournée sur les besoins des territoires.”
“Rassurer, convaincre et engager des politiques pour l’avenir”. Ainsi posées, les ambitions de Richard Bouigue, inspirant PS à cause le Nouveau Front paysan à cause la 3e division, ont chaque d’un espoir de culture.
“Une campagne pas comme les autres, contrainte, reconnaît le candidat, compte tenu des délais qu’elle nous impose, des enjeux à la fois au niveau national et européen et des risques réels que représente le Rassemblement national.”
Endiguer la détaillé RN
Face à cette “vague”, cette “dynamique RN”, l’moment n’est pas au acceptation, se veut-il apaisant. “Malgré le peu de temps à disposition, nous allons nous retrousser les manches pour recoudre la société, recoudre cette solidarité.”
En une paire de mots : “entendre les craintes, les peurs”, chaque en dénonçant “les supercheries du Rassemblement national”. “Ce RN qui se dit le parti des classes populaires mais qui à l’Assemblée nationale ne vote pas l’augmentation du smic, ne vote pas l’indexation des salaires sur l’inflation, s’abstient sur certaines lois sociales au niveau national comme européen.”
Preuve accompagnant lui “d’une stratégie” qui vise “à détricoter la République”. Comment ? “En recourant au référendum permanent qui viendrait contourner le choix des urnes et des Français en remettre en cause la Constitution elle-même, le socle de ce qui nous rassemble aujourd’hui.”
S’il est à cause lui “important de démasquer RN” qui “derrière les cravates et les discours policés manipule les peurs et les Français”, le inspirant du Nouveau Front paysan se assuré quant à à unificateur, une esgourde attentive aux spécificités de la 3e division. “On a bien compris l’enjeu. Celui de construire une politique plus respectueuse et davantage tournée sur les besoins des territoires.”
“Il y a beaucoup d’innovations en milieu rural”
“Les politiques publiques aujourd’hui ne savent pas s’adresser à des circonscriptions comme celle du Sud-Aveyron, valide le candidat. Quand je vois la disparition des services publics, la manière dont on traite l’agriculture, la manière dont aujourd’hui sont traitées les aspirations des gens qui nous parlent des problématiques qui sont à la fois celles du pouvoir d’achat mais aussi de choses plus en proximité comme la disparition des commerces, comment on revitalise et comment on accompagne ?”
Il surgeon : “Oui, il y a un milieu rural qui est aujourd’hui en danger, mais il y a aussi beaucoup d’innovations en milieu rural. Il y a aussi beaucoup de gens qui ont envie de créer, d’entreprendre et qui ont des idées. À ce titre, je trouve que l’accompagnement de l’innovation dans le milieu rural n’est pas à la hauteur.”
“Grande conférence sociale”
Sur la section du boulot, le inspirant PS le dit quant à rien déviation : “La réponse du gouvernement, et pire celle du RN, n’est pas à la hauteur“. “Quand je parle travail, je parle à la fois de rémunération, de valorisation. Aujourd’hui on a des métiers qui ne sont pas rémunérés à la hauteur de leur utilité sociale. Je pense à tous les métiers du lien et du soin.”
“Toutes les auxiliaires de vie, toutes les infirmières ne sont pas du tout rémunérées à la hauteur de l’engagement et du temps qu’elles y passent, ni des études qu’elles ont faites pour certaines. On n’anticipe pas assez le fait que les conditions de travail sont aujourd’hui un enjeu.”
Sur le partie de la esprit bref, Richard Bouigue se veut là davantage réel. “Je suis pour une grande conférence sociale avec les syndicats sur les salaires, les conditions de travail, voire le temps de travail. Et, je sais que c’est un peu iconoclaste, là où la semaine des 32 h est possible, pourquoi ne pas l’expérimenter davantage ? Au niveau européen, ce sont des choses qui se font.”
“Il faut être moteur de la construction européenne”
“Je suis pour qu’on soit très clair sur le conflit qui se déroule en Ukraine. Il y a une agression, celle de Poutine. Il y a une résistance à aider, c’est celle de l’Ukraine. Et si des moyens doivent être donnés, c’est pour la victoire de l’Ukraine. Car l’Ukraine ne protège pas que l’Ukraine. Elle protège aujourd’hui, l’Europe tout entière d’une agression qui est celle menée par la Russie de Vladimir Poutine.”
À Gaza ? “Il faut le cessez-le-feu. Il faut aussi la libération des otages. Il faut aussi la reconnaissance de la Palestine parce que c’est la condition pour aller vers une solution de paix, la seule que vaille aujourd’hui avec une solution à deux états. Et même si ça paraît loin, il faut y aller. Il n’y a pas d’autres solutions.”
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