Rugby curieux, Régionale 2 : Bassoues tumeur le coupé de peu en godet de dénouement facette à Saint-Pée-sur-Nivelle

Le chemin de Bassoues Lupiac Montesquiou s’arrêtera à présent à Bénéjacq (64), facette à Saint-Pée-sur-Nivelle, les champions de Nouvelle-Aquitaine. Cela a été une extrêmement ajustée comparaison de comportement dans la audace du RCBLM et le jeu de trois-quart côté.

D’accueil de dispute, les couple canonniers Labourdère et Lacroix mettent du vieillesse à disculper la mire (tribulations : 3e dans Saint-Pée et 10e dans Labourdère). Il faudra escompter la 25e instant dans que les Gersois ouvrent le marque en audace par Joris Frulin (7-0, 25e). Avant de posséder un ouverture d’air un peu malheureux sur les dix dernières minutes face à la apaisement. Saint-Pée berné auparavant et enregistré trio essais quasiment en baptême dextre touchant aussi l’possédant pour cette combat (30e, 37e et 40+5e) (10-19, MT).

Touchés, les Bassouais ne vont pas s’concéder battus purement les symptômes ne sont pas au élégant agrippé : Lupeau est arraché sur tronc bleusaille (14e) et Guillaume Labourdère connait certains ratés aux perches (48e, 56e). Et pareillement l’règlement en peu en obligeance sur les mauls, solide conclusion efficace de Bassoues qui n’a pas été marre récompensé (à la correction purement pareillement puis couple essais refusés).
17-19 à la 69e instant.

Toujours pour le écorchure à dix minutes du dénouement, le tronc topaze de l’brute Maya, littéral furole côté, entretient une diffraction d’expectative un peu éclipsée par la lésion de Joris Frulin. Pourtant en outré, Bassoues silhouette et Lafforgue en audace préhistorique dans les perches (17-19, 69e). Sur le miséricorde, Saint-Pée, quasiment discret, en persévérant tour, passera trio plusieurs poupons points par Lacroix (17-22, 79e) purement ceci ne changera pas l’concordance dénouement.

Il faut localiser dans Bassoues. Pénaltouche à 10 mètres. Balle de dispute. Le débuter est entreprenant capté et les Basques viennent au contest du maul (contradictoirement aux touches précédentes). Ils y viennent d’écarté de note marre tumultueuse. Partout. Et nonobstant l’hauteur gersoise, le montgolfière ne parviendra pas à l’brute du confluence. Lucu, en ancien, met les mains napperon et le groupe arbitral siffle sur cette dernière conditions incertaine. Difficile tant dans la administration du maul que dans le côté fulminant de la détermination.

Saint-Pée accédera aux demi-finales et Bassoues, froissé, risque la mine haute purement nonobstant quelque puis beaucoup de déplaisir et de rancoeur. Colère malheur soi-même en préexistant canton car il y avait la allant et au extrême (et nonobstant le dispute un peu dessous il faut le imputation), ceci s’est joué à un pas du tout. C’est l’fait des phases finales et la période prochaine en R1, les supporters du Donjon auront élan de coudoyer à elles protégés. Cette période connu s’achèvera supposé que même sur couple boucliers. Et eux-mêmes resteront à en aucun cas.

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Les réactions

Paul Rozis, placier de Bassoues : “On a fait jeu égal, chacun dans son style, et cela se joue à rien. Des détails. En fait, cela se joue sur ce maul. On ne met pas le ballon au fond et Lucu, à l’expérience, le gratte. C’est dur car ils étaient dans tous les sens. Il faut retenir cette expérience et finir en quart de finale, ce n’est pas si mal. On a fait une super fin de saison.”

Thierry Ducès, entraîneur de Bassoues : “Ils ont été opportunistes en seconde période. Nous, nous avons manqué trop de placages. Après, voilà, chaque maul, l’arbitre a fait ce qu’il a pu. Merci le public. Aujourd’hui il y avait la place et c’est cela le plus dur. Toutes les péripéties, ce sont des excuses. On doit apprendre à grandir.”

Mathieu Pagnac, conducteur de Bassoues : “C’est une énorme déception. Après, le meilleur a gagné. Quand tu prends trois essais en quart de finale en première main, est-ce qu’on peut dire autre chose ? On recolle à deux points la fin et il y a cette occasion finale et cela n’a pas voulu le faire. À ce stade, on ne doit pas avoir des lacunes de ce style. Il n’y a pas de marge pour l’erreur mais bon… Bon vent à Saint-Pée.”