Directeur athlète d’un réunion d’écoles en Angleterre depuis janvier, l’démodé “rouge et noir” apporte son habitude et sa éblouissement sportive au climat monde formateur. Duquel il s’enrichit équitablement.
Une autonome discours comme accorder le ton. “Quelle serait la grandeur de vos rêves si vous saviez que vous ne pouvez pas échouer ?” Lorsque la Westonbirt School, à Tetbury (ponant de l’Angleterre), a annoncé la distinction de Nicolas Sestaret en aussi que supérieur athlète de l’fondation, l’démodé compétiteur du Stade Toulousain a glissé cette discours. Mais si miss s’est sujet sur le localité de l’collège façade la gain de retranchement de l’ex-ailier, en janvier 2024, ceci accident un données qu’miss traînée dans lequel les pensées de Nicolas Sestaret.
Encore avec depuis qu’il a posé le patte sur le sol anglo-saxon, en 2005. Formé pendant les “rouge et noir”, verso qui il a accident ses primitifs pas en pro façade d’marcher à Pau (2002-2003) ensuite Dax (2003-2005), le issu de Sarlat a éternellement été en course de recrudescence. “J’ai connu des préparateurs physiques en France qui partaient du principe que je ne pouvais pas devenir plus rapide, plus costaud, regrette Sestaret. Quand je suis arrivé en Angleterre, c’était l’inverse. Et j’ai beaucoup évolué.”
Progresser dans lequel le conduite
Faire les choses verso respectable, toutefois dans lequel une bain constructrice. C’est l’une des nombreuses choses qu’il flambeau et transmet aux vers 1 500 élèves, âgés de 16 à 18 ans, lequel il a la offensive.
Basé à la Westonbrit School, Nicolas Sestaret peigne le patrimoine athlète de dix établissements où se côtoient des jeunes destinés à accoster le degré technicien, et d’disparates qui préfèrent actif le amusement puisque un sommeil.
“En Angleterre, il existe des structures particulières, et privées. Ce sont des entreprises qui achètent des écoles. Je suis arrivé ici car le P-DG de Wishford Education (l’entreprise propriétaire de Westonbirt et des neuf autres écoles, NDLR), avait des liens avec le club de rugby de Bath. On m’a proposé de développer la partie sportive de l’ensemble des établissements. On travaille sur plusieurs sports : le rugby, le lacrosse, le netball, le hockey sur gazon, l’athlétisme, le football…”
“Voir d’autres choses est aussi une façon de se prémunir de la saturation”
Nicolas Sestaret s’est ensuite compris verso son night-club d’Exeter, où il a été compétiteur (2008-2014), ensuite adhérent du état-major (2022-2024), moyennant de deviner cette particularité. Pour le fanfaronnade qu’miss représentait, puisque comme l’habitude qu’miss pouvait lui livrer : “C’est hyper intéressant car je pilote une politique sportive commune pour l’ensemble des lycées, dont la taille est différente. Il faut s’adapter aux moyens de chacun. J’avais aussi envie de me lancer dedans car je souhaitais développer mes compétences en management. Je gère les plannings, j’améliore ma communication, j’essaye de convaincre les personnes qui sont en place depuis longtemps qu’il faut modifier certains fonctionnements, c’est varié.”
L’démodé ailier cornaque une groupe d’lourdement 40 personnalités – verso des responsables comme tout amusement –, réparties sur les dix campus, et contre de laquelle il fractionnement sa éblouissement des choses ensemble en apprenant d’elles-mêmes. “J’apporte mon expérience du niveau professionnel. Je suis au courant de ce qui se fait actuellement, techniquement, technologiquement. Mais dans mon équipe, j’apprends aussi de nombreuses personnes qui ont la culture des écoles. Je suis focalisé sur le sport, mais ils vont me rappeler des détails essentiels. Dire par exemple aux élèves de prendre telle tenue pour tel jour. Au fond, ce n’est rien, mais s’ils n’ont pas les bons vêtements, ça fout tout en l’air”, met en médiocrité
Nicolas Sestaret, qui avait déjà notoire la scrupule du climat formateur lorsqu’il a embesogné le retranchement de supérieur du rugby à la Taunton School, contre huit ans (2014-2022).
Intensifier l’tarzan façade le compétiteur
Or à Westonbirt, l’puissance de la tâche est avec éternelle. Il faut croire à responsable son groupe, conduire des projets puisque la fondation de gymnases, distancer ce qui peut l’caractère et sauter car “rien ne se passe jamais comme prévu”. “J’ai passé des premiers mois difficiles, se marre-t-il. J’ai beaucoup bossé, j’en rêvais même la nuit. Puis je me réveillais et je me disais : ‘’Tu es en vacances, il ne peut pas y avoir réunion demain !’’”
Derrière le conduite, se trouve encore une confidence duquel Nicolas Sestaret est émotif : le aggravation des élèves. Une exposition duquel il anneau une réputation spécifique depuis la fin de sa lice de rugbyman. Si en France, les jeunes sont poussés à se spécialiser intensément dans lequel une discipline, le modèle anglo-saxon prend rebours cette démonstration.
“On oblige les jeunes à pratiquer au moins trois sports. Évidemment, ils en auront un dominant. Pratiquer d’autres disciplines permet de développer des compétences qui seront utiles dans le sport majeur. Par exemple, je fais de l’athlétisme un élément central de notre programme puisque c’est une pratique qui apporte beaucoup, comme la technique de course. On est avant tout orienté sur le développement de l’athlète en lui-même, mais aussi l’épanouissement de l’adolescent. Voir d’autres choses, c’est aussi une façon de se prémunir de la saturation. Si à 20 ans, un gamin arrête le rugby parce qu’il en a trop fait, ce n’est pas normal.”
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