Stade Toulousain : ils ne sont pas voisin de l’écarter ! Paul Costes, Joel Merkler et Clément Vergé racontent à eux ancienne conclusion de Top 14 triomphatrice

Ils s’en rappelleront amplement de cette période 2024. Paul Costes (21 ans), Clément Vergé (22 ans) ou plus Joel Merkler (22ans) ont disputé vendredi à eux ancienne conclusion de Top 14. Et lequel conclusion. “D’un point de vue personnel, si on m’avait dit ça en début de saison, je ne l’aurais pas cru. C’était magique. De l’expérience emmagasinée, deux titres, une saison de rêve. J’ai passé un cap”, s’exclamait le étai ou auxiliaire carnèle Joël Merkler, certains instants ensuite le cassure de huchet terminal.

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“L’expérience de la première finale contre le Leinster m’a servi. Déjà, quand le score est moins serré et que tu rentres en finale, tu es un peu plus rassuré. Alors qu’en coupe d’Europe, cela a été très serré jusqu’à la fin.”

“C’est énorme tout ce qu’il se passe”

Si Merkler identique Costes vivait de la objet derrière la conclusion effroyable facette au Leinster, à la fin du appointement de mai, Clément Vergé lui, découvrait l’biosphère si entière qui caractérise ce look d’événement.

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D’aussi que nenni ne destinait l’Ariégeois à constituer objet des 23 derrière cette mêlée. Mais le infamie de Faasalele et ses belles performances de la période ont été récompensés par le plâtre. “J’ai eu la chance d’être sur la feuille, il y avait beaucoup de blessés et notamment Many (Meafou). Au final, je me dis qu’il y a eu plein de circonstances qui ont fait que j’ai intégré la feuille de match donc c’est énorme ce qu’il se passe. Tout s’est aligné pour que tout aille bien pour moi”, souriait Vergé.

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Pour Joel Merkler, le foule de jeunes stadistes possédant participé à la conclusion n’est bref pas si mélangeant. Elle accessit collant les efforts et l’attraction de la printemps toulousaine : “Entre jeunes, on se tire beaucoup la bourre. On est très compétiteurs et les grands mettent la barre très haut. On n’a qu’une envie, c’est d’y arriver. Et quand on a l’occasion de montrer qu’on est au haut niveau, on la prend. On a bien vu lors de cette finale que tous les jeunes avaient envie de montrer qu’on est prêts.”

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Paul Costes, lui encore, a expérience une élévation chatoyante commencée en mai envers sa appui à la conclusion de la Champions Cup et ponctuée fin juin d’un ahurissant doublé. “C’était en effet difficile de l’envisager. En plus, on fait ça avec la manière dans une finale comme on les aime”, savoure le talentueux foyer occitan qui ne s’attendait pas à un tel zigzag conclusion : “On a essayé de produire le jeu que l’on produit toute l’année. On avait pour ambition de jouer au rugby, jusqu’au bout !”

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Ce fut pécuniaire et lui se rend liste qu’il vit des instants incroyables : “C’est magnifique et rare, c’est savouré car je ne pense pas que toute ma carrière ce sera comme ça. J’ai la chance de tomber dans une belle génération, voire une des meilleures qui n’ai jamais existé. Je vais donc m’estimer heureux et espérer que ce ne sera pas la dernière.”