Auteur d’une secours braillarde, le 3e garniture anglo-saxon a été l’un des grands gentils de la conclusion comme le halte occitan. À 27 ans, il enfermé une hors de saison XXL pile le Stade.
Et un, et couple et triade ! Après dix-neuf appointement passés dessous le tricot du Stade Toulousain, l’mondial anglo-saxon Jack Willis vient d’étendre un inconnu butin à son hit-parade, vendredi veillée, comme la touffeur d’un lice Vélodrome actif.
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Un second armure de Brennus, un an ensuite le préexistant solennel comme l’rond dyonisienne devanture au Stade Rochelais, une brevet en puis ensuite icelle du appointement de mai neuf propre en Champions Cup devanture au Leinster. Depuis son atterrissage sur les bords de Garonne, Jack Willis remplit son maie à trophées.
“C’est incroyable ce que je vis ici. Après huit ans passés aux Wasps où je n’ai rien gagné, ici, en moins de deux ans, je me retrouve avec trois titres, c’est fou”, s’exclame le flanker occitan au opportunité de adhérer le bus des “rouge et noir”, brevet du Top 14 tout autour du cou et plus plusieurs stigmates au attitude, test de son extraordinaire attaque continuum au élancé de la correspondance devanture à des Bordelais qu’il a épars sur son exaltation d’un aboutissement à l’distinct.
“Plaquer fort, plaquer bas !”
Stupéfiant le 25 mai neuf devanture au Leinster, Jack Willis a ressorti les habits de illumination du adversaire de l’fantôme, vendredi veillée, à Marseille où sa secours faramineux a épaté partenaires et supporters.
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Des courses tranchantes qui ont mis à mal le étoffe défensif girondin (16 courses pile un achevé de 71m parcourus et 6 défenseurs battus), des plaquages appuyés (7 sur 7) qui ont battu les attaquants de l’UBB, couple grattages sur les rucks et pas une personnelle sanction concédée !
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“On savait qu’il fallait se concentrer sur notre défense face à des Bordelais qui possèdent d’excellents porteurs de ballons comme Tatafu et Tameifuna donc il était important pour nous de plaquer fort, de plaquer bas et d’être très présent sur les rucks”, déroule le démesuré Willis qui a exécuté une secours inévitable.
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Un procréation soigné, un engrais critique comme le action du global occitan, une semaine ensuite une demi-finale en demi-teinte pile l’mondial anglo-saxon. “Oui, je voulais me donner à 100 % pour l’équipe car cette demie, elle avait été un peu dure pour moi”, admet-il, naturel de l’conclusion de cette conclusion “un peu bizarre avec ce score final incroyable. Mais 3 points d’écart ou bien 56 à la fin, peu importe, c’est le résultat final qui compte.”
Qui lui vaut de engendrer un écrin bourré dessous le tricot occitan pile triade titres en triade finales. Et ce n’est éventuellement pas terminé…
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