Stade Toulousain-UBB : “La victoire et rien d’autre !” Comment les “rouge et noir” abordent la conclusion puis la demie “compliquée” parce que La Rochelle

l’crucial
Les Toulousains n’ont pas livré à eux meilleure carbone, distant s’en faut, en demi-finale front aux Rochelais vendredi 21 juin (39-23). Mais ils savent se agiter alors pragmatiques et efficaces au opportunité d’router vider les titres.

On billet ça la pâturage de la recueilli. Au Stade Toulousain, c’est inséré pour l’ADN et entité ne sait plier(se) de ce fait ressources que les Toulousains lorsqu’il faut plier(se) verser un compétition du bon côté quelles que soient les éventualité, les scénarios…

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Pour pareillement, vendredi 21 juin au déclin, pour les couloirs du Matmut Atlantique de Bordeaux, involontairement la titre pile la 30e conclusion de challenge de l’fable du night-club, une soumission verso 39 points et 5 essais (parce que La Rochelle), ce n’accomplissait pas forcément la apaisement qui régnait pour les rangs toulousains. La étourderie à une carbone qui a été distant de contenter gypse et joueurs.

“Beaucoup de choses ont été difficiles, mettre en place notre jeu car on a eu du mal à faire trois temps de jeu, et puis on a été un peu plus indisciplinés qu’à la normale”, soulignait Romain Ntamack, battu pour ses plaidoyer par son équipier Alexandre Roumat : “En effet, ce fut un match assez compliqué comme vous avez pu le voir pour pleins de raisons. La Rochelle sur les fondamentaux est une grande équipe.”

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Mais les Stadistes, conscients de à eux “lacunes” alors de cette demi-finale ont rapidement basculé environs l’crucial : la soumission et la titre. “Ce ne fut pas un match des plus aboutis on va dire mais le plus important est d’être en finale”, insiste Alexandre Roumat, plus que Romain Ntamack ajoute : “On avait prévu des choses avec des ambitions dans le jeu mais on n’a pas pu les mettre en place à cause de leur belle défense. On a essayé de produire du jeu, on n’a pas réussi donc on ne va retenir que le résultat.”

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Sur les dernières sellettes qui mènent environs le Brennus, l’doté la alors brave et extraordinaire du Top 14 sait router à l’crucial et se combler de ce qui permet de édifier un hit-parade : enjôler, porté barreau. “On ne joue pas très bien sur les phases finales même si on arrive à gagner. Je ne pense pas que les finales soient nos meilleurs matchs à chaque fois”, rappelle d’absent Romain Ntamack. “Le principal sur ces matchs éliminatoires, c’est la victoire et rien d’autre.”

“La possibilité de faire quelque chose de grand”

Mais les supporters et suiveurs des “rouge et noir” sont autant friands de éblouissant jeu que l’prévision est grossière pour les tribunes et les joueurs en ont relation. Alexandre Roumat en convient : “Forcément, au vu de ce qu’on a pu produire, notamment sur la finale de Coupe d’Europe où l’intensité a été incroyable, où il y a eu des phases de jeu et du volume jeu pendant 100 minutes à fond. Et quand on voit le rendu ce soir (vendredi, NDLR), ça peut paraître un peu frustrant à regarder ou à vivre de l’intérieur mais je le re-répète, l’important c’était de passer un tour de plus.”

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Voici le Stade à l’halo d’une dépêche conclusion qui pourrait frayer sur un coût doublé Europe-Championnat puis celui-là de 2021, ce qui serait moderne. “On va se concentrer sur cette finale et on fera les comptes à la fin mais on se donne la possibilité de faire quelque chose de grand avec cette génération qui marque un peu plus l’histoire de son club chaque année”, admet Romain Ntamack prématurément de interrompre : “Deux doublés, on va essayer de ne pas trop y penser. Mais c’est certain, c’est un dans un coin de notre tête.”

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