Après trio semaines à parcourir le Tour d’Italie, Tadej Pogacar est encaissé en acquérant à Rome dimanche contre consacrer son abondance. Le Slovène peut déjà se irriter déjà contre son humain droit : le Tour de France.
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Tadej Pogacar a remporté le Tour d’Italie à sa primitive apprentissage, dimanche 26 mai, à l’aboutissement de la 21e et dernière escale à Rome gagnée par le Belge Tim Merlier au afflux.
Six victoires d’escale, tellement que le prince Eddy Merckx en 1973, une avancée abyssale sur son baleine Daniel Martinez au commun, 9 min 56 sec, alors prince portée depuis 1965, et une publication de poncif déconcertante, au coeur d’un visible imprévu : le Slovène a ruiné le Giro de issue en issue, reliant le pull-over églantine dès le collaborateur guichet contre l’avancer dimanche au patte du Colisée.
Ce réussite dès son liminaire Giro ajoute une événement proverbe à sa masse de trophées qui s’agrandit de guichet en guichet : à purement 25 ans, l’fantôme de Komenda promis déjà 77 abondance lequel quelques Tours de France, six Monuments et un ribambelle d’contraires classiques et courses par étapes.
Le doublé en bord de mire
Plus que par hasard, il aille chez les pas de Merckx, le alors prince cycliste de entiers les moment pile qui il écartelé le même attirance bâfreur.
Au Giro, hominidé ne lui est encaissé à la scellé jusqu’à la dernière escale, remportée par le Belge Tim Merlier au afflux.
Daniel Martinez a bref assuré chez un prince Tour et sera un officier de cassé contre Primoz Roglic au Tour de France. Geraint Thomas, homérique étrangère à 38 ans, s’est accroché uniquement hormis la auxiliaire obstination moyennant Pogacar, “le meilleur coureur contre lequel j’ai couru et pourtant j’en ai connus des bons”.
“Tadej ? C’est Superman”
Pogacar peut désormais se couronner au collègue mantelet de son prince bravade : arracher la même période le Giro et le Tour de France, ce qui n’a alors été accompli depuis Marco Pantani en 1998.
Il a en retour éliminé de collaborer au Tour d’Espagne, pente viser les Championnats du monde à Zurich fin septembre, discordant prince droit.
“Évidemment qu’il peut faire le doublé Giro-Tour. Il est tellement fort. Je suis fier d’être son équipier”, a lancé l’Autrichien Felix Grosschartner. “Tadej ? C’est Superman”, a condensé Rafal Majka, son affilié officier comme UAE.
Certains s’inquiétaient chez la confiance du Tour de France (29 juin-21 juillet) de l’inventaire de apathie de “Pogi” postérieurement trio semaines à batailler en Italie chez des données climatiques tantôt compliquées.
A priori, il n’y a négatif à redouter, car il avait surtout l’air diligent délié dimanche, globalité de églantine accoutré chez les rues de Rome.
Certes il ne s’est pas délibérément économisé en Italie – “il ne peut s’empêcher de faire la course”, a indéniable Romain Bardet, 9e du commun – et chahut soirée, Pogacar a formel de “trois semaines difficiles” où il a été un peu indisponible, a tantôt mal dormi et a dû recouper à d’innombrables sollicitations.
“C’est insensé le talent qu’il a”
Mais il a pour estimé arrêter “dans une bonne forme” et pile “le moral au plus haut” auparavant de simuler à une paire de jours de escale, avec de trier en séjour d’faîte à Isola 2000.
“Cette victoire au Giro me donne un bel élan pour le Tour de France”, assure-t-il.
Des quatre “fantastiques”, c’est absolument lui qui emmanché le alors de garanties à quatre semaines du Tour.
Double acquérant sortant, Jonas Vingegaard a globalité ad hoc repris l’canon postérieurement ses pluriels fractures au Tour du Pays côté, ensuite que Remco Evenepoel et Primoz Roglic, blessés chez la même éboulement, ne reviennent à la championnat que dimanche humain au Critérium du Dauphiné.
En l’inventaire, Tadej Pogacar est privilégié contre progresser le huitième cycliste à parvenir le doublé Giro-Tour la même période (postérieurement Marco Pantani (en 1998), Miguel Indurain (1992 et 1993), Stephen Roche (1987), Bernard Hinault (1982,1985), Eddy Merckx (1970,1972,1974), Jacques Anquetil (1964) et Fausto Coppi (1949)) et foisonnement son bataille à distinction pile les légendes du passé, au-dessous le attention généralement gringalet de ses contemporains.
“Jonas [Vingegaard] est le seul à évoluer au même niveau que lui, mais il faut voir comment il sera [sur le Tour de France], analysait Geraint Thomas. C’est insensé le talent qu’il a. Tellement polyvalent, agressif, toute l’année. À côté de lui, on a l’air tellement lents.”
Avec AFP
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