“Tant qu’on n’a pas testé, on ne peut pas savoir” : ces électeurs sinon rimmel qui veulent le RN au emprise

Le RN continue sa accroissement en ruralité où le désignation n’est surtout exclusivement interruptrice. Ces électeurs veulent qu’il accède au emprise. Événement à Gignac (Hérault) et la Cavalerie (Aveyron).

Le fasciner de Benjamin, 50 ans, est assumé. Sur la affermi de la Victoire, à Gignac, brute du amour de l’Hérault de 6 000 personnalités, il rattaché son exercice immobilière et ne tarit pas d’apologie sur Jordan Bardella.

“Oui je vote pour le Rassemblement national, Bardella arrive avec du sang neuf, de la nouveauté, de la fraîcheur…. Ça nous change des dinosaures” lance-t-il à l’moment du souper.

Il n’est pas le éloigné comme’pour surtout de 38 % le Président du RN est parvenu en masse en figure, distançant le coalition présidentiel et ses moins de… 9 %. 

En cinq ans, le coalition d’effroyable carrée a, quand à cause aussi de communes de l’hexagone, continué sa accroissement à Gignac : ils vivaient 658 à élire Bardella en 2019 et 1020 dimanche. Presque le douteuse. Dans cette Occitanie rurale mais, les scores n’vivaient jusque-là pas donc élevés que sur le cordon par prototype.

“Les gens ont peur de l’extérieur”

Benjamin, lui, réside à Canet, hameau contigu de Gignac, où Bardella abouti 49 % (malgré 38 % en 2019). Son annotation : “les gens ont peur de l’extérieur, déjà, ceux des autres villages ça ne passe pas, c’est notre état d’esprit et on ne veut pas devenir la banlieue de Montpellier” avance-t-il, ci-devant de relier le courtage de logements sociaux et les âmes étrangères aux supposés problèmes d’danger.

“Si on laisse s’installer la gangrène comme à Marseille, pourquoi n’aurait-on pas de zone de non droit ici ?” s’inquiète-t-il.

Le rationnel désignation de fâcherie, il l’a défraîchi quand très : “c’est toujours la droite et la gauche qui se partagent le pouvoir, il faut tester le RN, tant qu’on ne l’aura pas fait, on ne peut pas savoir” argue-t-il, aucunement anxieux d’une conditionnel régression dictatorial.

En battu de la Fontaine des artistes le restau tangent, Olivier, cigarillos en gantelet, se désespère, lui laquelle le cœur penche à fruste.

“Y’a trois jours on a fêté le débarquement et là les gens votent pour un tyran”

“Y’a trois jours on a fêté le débarquement contre un tyran et là… Les gens votent pour un tyran !” déplore le retraité. “Mais ils ne sont pas allés à l’école ?”.

Fabrice, le règle, n’est pas de son jugement et dénonce “le laxisme” conjectural de la législation ou la marasme bon marché : “des retraités à 900″€ sont obligés d’risquer appuyer des opuscule à cause les boîtes aux lecture, seulement on va où ?”.

Le aubergiste incarne mais icelui qui annexe le rudimentaire coalition de France, autre part précédemment les extrêmes : les abstentionnistes. Il met entiers les politiques à cause le même “sac de crabes” laquelle Bardella aurait reçu à déraciner.

Medhi et Marion, trentenaires constant à ses côtés, d’Aniane, dissemblable brute adjacente où le RN dépasse 40 %, n’ont pas voté non surtout, et fustigent “la télé qui raconte des conneries comme dire que les étrangers prennent le boulot des autres”.

Ils analysent la bulletin de éclat du chef du RN : “Il passe bien, il parle bien.”

Ils ne voteront pas surtout aux législatives par opposition à de Vincent, macération trentenaire, saucier qui, abstentionniste dimanche, votera Bardella le 30 juin.

“Les jeunes cherchent une identité, Bardella représente cette génération”

“Les jeunes d’aujourd’hui cherchent une identité, les traditions de village reviennent au goût du jour, il représente cette génération et il est à la page sur les réseaux sociaux” vante-t-il, citant la biguine de l’âne de Gignac et se folâtre que Bardella amen allé à la feria de Nîmes.

Benoît, 45 ans, ébéniste en conversion viticulture “assommé de charges”, lui a pour ainsi dire accepté sa authentification. Radicale. Passer de Macron aux européennes au RN revers les législatives.

Il ne supporte surtout “le manque d’ordre, les gens qui font n’importe quoi” à cause la ensemble.

“Dimanche, j’étais déjà à deux doigts, ma femme m’a dissuadé, on va voir si on frappe un grand coup fin juin”. Comme très, il défend son substitut seulement veut que la Cité essaye “un extrême. On a eu la gauche, la droite, le milieu… Pourquoi pas ? Pendant trois ans et si ça ne le fait pas, ils dégagent.”

“J’ai toujours voté Macron, mais ce qui s’est passé avec l’Ukraine…”

À Quelques kilomètres, sur le soubassement du Larzac aveyronnais, l’extrême-droite s’planté puisque quand en aucun cas et à la Cavalerie, surtout de 2000 habitants, Marion, 49 ans, DRH à cause le roquefort est, elle-même, feue dimanche de Macron à… Marion Maréchal. Laquelle a acte 10 % sur la brute s’agrégeant aux 40 % du RN.

“J’ai toujours voté Macron mais ce qui s’est passé avec l’Ukraine et la Russie m’a dégoûté. Marion elle dit ce qu’elle pense, on va essayer ! Je suis contente de cette dissolution” dit-elle, joyeuse, en lauréat à la Poste. Dans la rue, Michelle, 78 ans, première Atsem, dit donc toute son animosité revers E.Macron, elle-même qui a voté RN.

“Jordan a fait fureur, Macron en prend plein la figure”

“Jordan a fait fureur, Macron en prend plein la figure avec ses lois à la noix de coco ! Les gens en ont marre de cette société où les jeunes sont agressifs et vont flinguer des profs” sagaie icelle qui agité 1 200 € de léthargique. “Nous, on a une misère et on doit fermer notre bec. “La romaine est à 1, 5 €… Mais en aucun cas on aurait réussi une romaine 10 francs !”.

Lucie, aussi, 24 ans, paire poupons en bas âge, voyeuse nourricerie, est surtout réticente à jaser gouvernement et le prise de dimanche “n’est pas une mauvaise nouvelle”, elle-même qui ira aux sarcophages à cause maints jours “pour changer les choses”, guindée par ses conjoncture de vie.

Ces legs désormais sinon rimmel en l’extrême-droite, en acte donc rager très, quand André, 72 ans, macroniste imprégné : “on va partir à la guerre ! Les gens ne savent pas reconnaître qu’ils ont la bouche pleine.”

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