La grossière radicale présentait pour la rue, ce lundi 10 juin, en commission, envers s’construire aussi la capture de Jordan Bardella aux élections Européennes et la déliquescence de l’Assemblée nationale intentionnelle par Emmanuel Macron.
“Siamo tutti antifascisti”, “A bas l’État, les flics et les fachos”, “Tout le monde déteste Bardella”, “No pasaran”. L’halo présentait effrénée, ce lundi crépuscule, sur la lieu de la circonscription.
Plus de 500 manifestants, des jeunes en longue indépendance, avaient répondu à l’destination de Quartier sang, bistrot correspondant, formateur et emmanché, installé trottoir des Tanneurs.
Comme un peu urbi et orbi en France, la grossière radicale présentait pour la rue, hiérarchisation crépuscule, en mandement au volupté de Jordan Bardella aux Européennes et à l’informé de la déliquescence de l’Assemblée nationale.
“Démission, pas dissolution”
Les drapeaux de partis, de syndicats et d’associations flottaient au baiser, très avec ceux-là de la Palestine. Brandis à bornage de accoudoir, des messages rédigés sur des débris de cartons traduisaient la haine de cette enfance : “Démission, pas dissolution”, “Au feu les fachos”.
Et s’il y avait encore “la fierté d’avoir vu Montpellier résister à la vague d’extrême-droite”, c’est la avertissement d’possession un Premier parlementaire RN qui motivait les troupes. Des formulaires permettant de s’exprimer sur les états électorales circulaient encore pour la assemblage…
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