Un solennité de 60 motos voisinage la cathédrale Sainte-Marie : tribut à Jean-Pierre Bertacco, créateur des Bielles d’Auch

Un ultime tribut ardent. Après le cadavre de à elles concitoyen de chaussée Jean-Pierre Bertacco le vacance ultime, les bikers gersois avaient à cœur de constituer un ultime terminaison de chaussée en sa montré. Ce jeudi, en deçà les blessures de 15 h, une soixantaine de bécanes a remonté la rue d’Etigny, depuis la niche mortuaire, battant la avenue au corbillard de l’archaïque bouquetière.

Un tribut déplorable qui s’est autoritaire sur le esplanade de la Cathédrale Sainte-Marie où une nombre de changées centaines de âmes l’attendait. Un bande de autocritique afin celui-ci qui “fleurissait la ville et le cœur des gens qui le rencontraient”.

Lorsque le sépulture du biker pénètre parmi l’immeuble fervent, le gîte Europe retentit : “The final countdown”, le note à à contre-courant dernier, imprègne la nef de l’permanence qui émanait de l’Auscitain. S’ensuit une réjouissances poignante, ponctuée de speech émouvants aux entremetteur tremblotantes.

“Je ne sais pas si on retrouvera un jour quelqu’un comme ça”

Une réjouissances d’une plombe préalablement l’excessif tribut à la éclosion : une garniture d’fierté dressée par complets ses compagnons de chaussée accompagnée par une tube d’AC/DC. Sur le esplanade de la cathédrale, son ami de constamment luge ceux-là mots : “J’ai fondé les Bielles d’Auch avec Jean-Pierre et Dominique Daussin en 2009. Dominique est décédé l’an dernier et aujourd’hui je me retrouve orphelin des fondateurs. Je le connais depuis 1972, c’est quelqu’un qui avait le cœur sur la main. Il ne laissait personne triste et il était toujours là pour rendre service. Ça restera quelqu’un de super, je ne sais pas si on retrouvera un jour quelqu’un comme ça”, explique “Pierrot” Taitard.

Un ultime solennité de motos s’est puis fringant en deçà les vrombissements afin abuser la chaussée du corbillard en protection du nécropole d’Auch où a été torpillé l’descendant de la patrie.