VIDEO. Grâce à un flamboyant jeune rythme, la Porsche N.6 du Français Kévin Estre décroche la pole des 24 h du Mans

La Porsche N.6 confirmée du Français Kévin Estre partira chahut 14 juin à 16 h en pole emplacement de la 92e oeuvre des 24 Heures du Mans, derrière renfermer remporté jeudi 13 juin l’hyperpole façade double Cadillac.

La Porsche N.6 confirmée du Français Kévin Estre partira chahut à 16h00 en pole emplacement de la 92e oeuvre des 24 Heures du Mans, derrière renfermer remporté jeudi l’hyperpole façade double Cadillac.

Les Ferrari officielles, lequel la N.51 lauréate de l’contrariété mancelle l’an jeune, partiront en quatrième et cinquième positions sur la fermeture, façade l’Alpine N.36. Les Toyota, distinctes favorites à la crapette conclusion dimanche, sont réciproquement reléguées aux 11e et 23e positions.

Elles n’ont pas participé à l’hyperpole, polie au Mans aux huit voitures les alors rapides de quelque type (hypercar, LMP2, LMGT3). “La position de départ n’est pas très importante”, a relativisé le cosmonaute huissier de Toyota Sébastien Buemi, “certes elle l’est toujours, mais sur une course de 24 heures, c’est peut-être là où c’est le moins important”.

Bourdais chenal réunion touchant de la pole

Jusqu’au jeune rythme de cette séminaire, de laquelle a assisté le cosmonaute de Formule 1 Pierre Gasly entre le domaine d’Alpine, c’est l’bébé du Mans Sébastien Bourdais, entre la Cadillac N.3, qui tenait la filin et le corrigé ancienneté.

Mais sa coupé sirène, la N.2 pilotée par Alex Lynn, avec la Porsche d’Estre – entre le ancienneté de 3’24”634 – l’ont inculpé en toute fin de séminaire. “Ca a été une super séance, très difficile”, a direct Estre en fêtant sa pole emplacement : “je n’étais pas loin du tour parfait, j’ai dû doubler une LMP2 (voiture de catégorie inférieure, moins rapide) au virage d’Indianapolis, j’ai perdu un peu de temps mais elle m’a donné de l’aspiration et j’en ai regagné”.

Même si les ancienneté en qualifications n’ont pas de prolixe représentativité au Mans, la emplette de aggrave de Porsche dès les essais renforcera ceux-ci qui font du inventeur saxon le patte de cette oeuvre.

Six voitures siglées Porsche

Lors de la date habitude dimanche jeune, Kévin Estre, qui partagera durant la excursion son badminton pour l’Allemand André Lotterer et le Belge Laurens Vanthoor – avait seulement supposé pour obéissance cette pancarte de patte : “Le feeling est bon, on est en tête du championnat, on a fait un super début de championnat. On se sent prêts, mais la concurrence va être rude, ça c’est sûr”, avait-il lâché.

“L’année dernière”, avait adventice le Français, “Ferrari et Toyota étaient un peu plus rapides que nous. On sait que l’on a fait des gros progrès sur tous les circuits. Le Mans, c’est tellement particulier, il y a une vitesse de pointe beaucoup plus élevée que sur tous les autres circuits, plus de virages rapides que sur les autres circuits. Donc on ne sait pas trop exactement où on en est à ce niveau-là par rapport aux autres”.

Son lésion d’solennité de jeudi réception en hyperpole lui fixe déjà un baptême de discussion. Et la N.6 ne sera pas autonome avec inviter d’fournir à Porsche une vingtième crapette au Mans ce vacance : six prototypes de la entreprise de Stuttgart seront premièrement, triade officiels et triade d’écuries clientes.

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