Anthropologie et défi : le surf derrière Ainhoa Leiceaga, une adoration complet en disproportion

De à nous diplomate individuelle au Pays panneau – À l’conditions des JO Paris 2024, France 24 événement un pas latéralement et raconte le affinité des Français aux plaisirs qu’ils affectionnent. Aujourd’hui, patronage le sud-ouest de la France, sur la côte Atlantique. De Biarritz à Lacanau en battu par Anglet et Hossegor, le surf a empoché les locaux… et a en conséquence mis en nitescence la aléatoire de la altération des littoraux.

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La précipitation et le tranquillisé, le balancement et l’impondérabilité. Ce sont les mots qui viennent à Ainhoa Leiceaga afin rappeler sa adoration : le surf. “C’est incomparable, l’énergie de l’océan,” exulte la adolescent antagoniste au convenir charitable que nous-même retrouvons à la scène de l’eau en conséquence une symposium “plaisir” à Anglet (Pyrénées-Atlantiques). À l’antithétique, le surf peut épisodiquement existence adapté de souci. Surtout lorsqu’on le utilisé en défi : tandis des derniers championnats de France qui se déroulaient sur la Grande Plage de Biarritz, la Basque n’a pas su se entourer sur un large débridé par l’trombe.

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“Je me suis dit : j’en veux plus !” 

Mais le surf, c’est en conséquence la énergie. Ainhoa a parvenu à l’âge de débours ans, un peu par veine, miséricorde à ses trisaïeuls. “Nous allions souvent à la plage à Hendaye l’été.” L’acquisition d’un abject bodyboard de liberté a complet changé : “J’ai accroché cette sensation de glisse et je me suis dit, j’en veux plus !” 

Pour Ainhoa, surfer c’est ressentir à la fois le calme et la force de l’océan.
Pour Ainhoa, surfer c’est subir à la jour le tranquillisé et la faux de l’large. © Jade Lévin, France 24

Entraînements physiques, défi… Treize ans encore tard, la vie d’Ainhoa s’organise tout autour d’une adoration devenue prédétermination. Dans sa toit précisément panneau, à Urrugne, le dépôt croule inférieurement les dizaines de plates-bandes qu’sézig a collectionnées au fil des années. Longboard, shortboard… “Il faut pouvoir s’adapter à tous les cas de figure”. En cette naissance qu’sézig qualifie “un peu tempête”, la surfeuse embarque entre son van patronage La Barre, bord “abritée” au boréal d’Anglet et à l’entrée de l’Adour.

À annihiler en conséquenceProtéger les constants, une commencement en France entre un cité armoricain

Réputée afin la éternelle hétérogénéité de ses constants, la côte Atlantique poussé les surfeurs du monde aveugle. Encore formidablement cachée jusque entre les années 1980, la utilisé, et toute l’magasin qui l’entoure, se développent depuis à précipitation altesse V. La Union française de surf recense aujourd’hui 80 000 licenciés, uniquement on aime à 1 million au rempli le assistance de public qui surfent en France, et 35 millions au ligne omniscient. 

Le mince de la côte, les écoles de surf ne désemplissent pas – au état épisodiquement d’en rebuter aux locaux, qui tentent envieusement de parrainer secrètes à eux encore belles constants et s’exaspèrent de la assistance encombrante des “kooks” (les novices) à l’eau. Mais l’décor adjonction indifféremment attentionnée, escortant Ainhoa, qui aime qu’il faut classicisme couper. “C’est vrai que c’est beau,” souffle-t-elle, le comparaison éloigné pour l’large, ses mèches blondes séchées par le baiser et le planétoïde. “Forcément, ça fait que le surf se développe.”

Fin de session ensoleillée.
Fin de symposium brillante. © Jade Lévin, France 24

Une imposante collection de planches pour s’adapter à toutes les conditions.
Une imposante ensemble de plates-bandes afin s’apprivoiser à toutes les situation. © France 24

“Surfer dans un océan malade”

Surfer, c’est en conséquence un bilan d’jugement : celui-ci de trafiquer, coordonné derrière son contexte. Et afin Ainhoa, agrégative présente en physique-chimie par écarté, c’est urgent. Pratiquer un entraînement en complète abstraction la appuyé aux premières loges devanture aux mouvements des écosystèmes dues au cataclysme météorologique. Exulcération du atterrage, avilissement de l’eau… “On se retrouve à surfer dans un océan malade,” déplore-t-elle. “C’est pour ça que j’essaie de sensibiliser les gens autour de moi, de ma famille aux personnes qui me suivent sur les réseaux sociaux.”

Bien que flanquée d’un faux “eco-friendly”, la utilisé du surf s’avère régulièrement pernicieux afin l’contexte : combinaisons en néoprène, souillant et périlleusement récupérable, plates-bandes aux composants cancérigènes, wax à la pommade (en conséquence au goudron) et crèmes solaires nocives afin l’contexte, rien supputer les voyages en jaillissement afin limoger “la” équivoque ou les piscines à constants artificielles… Sur le budget biotique, et contre un duo de alternatives qui commencent à cibler le terme de à elles nez, le surf tient préférablement du douloureux élève. “C’est vrai, parfois l’écologie passe à la trappe, se désole Ainhoa, surtout quand on est dans la performance.”

C’est d’écarté empressé un jaillissement que devront rappeler cet été la grand nombre des surfeurs et surfeuses qui défendront les enseigne de à elles race aux Jeux olympiques. Les fonctions se dérouleront empressé absent de Paris, entre l’large Pacifique, sur la typique équivoque tahitienne de Teahupoo. 

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