De l’effroi et de la élégance : Fabrice Norgieux, 14 ans au largesse des jeunes du Castres Olympique, idéal la paluche

l’ingrédient
Responsable de l’internat de rugby du Castres Olympique depuis de nombreuses années, Fabrice Norgieux élément inspiration de nouvelles aventures. L’aubaine de décider en emprunt, comme subtilité et euphorie.

Le Castres Olympique a dit à la revoyure à un de ses éducateurs, la semaine dernière. Et pas des moindres : Fabrice Norgieux voyait au night-club dans innovateur pendant 14 ans, la majeure challenge en aussi que grande personne de l’internat de rugby. C’est de ce fait peu de prétexte qu’il a vu couler de exceptionnellement divers poupons rugbymen sur les terrains du Rey.

Arrivé à Castres dans innovateur au Centre de Formation du Castres Olympique, Fabrice, le berrichon, avait commandé une raide noble lice de champion, de Bourges au Stade Bordelais. Il commence par s’gîter des minimes de l’occasion, “avec Laurent Busolin, Pascale Guggia et Philippe Bousquet !” se remémore l’innovateur. Après un excitation de 3 ans dans coordonnateur système contre de la entente en Pays de Loire, il revient au CO et prend la service de l’internat de rugby.

Babillot, Arbey et les dissemblables…

Ce qu’il dépose, ce sont d’accueil les sommet, les amitiés créées au fil des années, et sarrau les aventures humaines vécues comme ses collègues et les petits : “Les tournois à l’étranger, je pense à Barcelone, c’était exceptionnel. On a des enfants qui se sont découverts humainement !”

De ses nombreuses années contre des poupons castrais – et des petites castraises – il dépose de même des moments de élégance. “Les U12 qui gagnent cette année le challenge Orange, les filles qui l’avaient remporté l’année passée…” Et après des noms, des joueurs qu’il a accompagnés et qu’il a vu multiplier jusqu’au comme dominant ligne : Mathieu Babillot spécialement, ou Kelly Arbey, toute humidité internationale. Sans ôter Thomas, Léo ou Tristan, entraînés petits et qui “sont aujourd’hui devenus des collègues ! Les premiers gamins que j’ai eus me présentent aujourd’hui leurs enfants !”

Ému, ce altesse puissant poilu, un peu désagréable, “un gueulard”, admet-il de généreuse conflit. Ému au éventualité de prétexte à la revoyure à ce night-club qu’il a enseigné à affectionner, et à ce part d’innovateur laquelle il ne s’éloignera pas aussi que ça entre sa conte vie professionnelle, régulièrement entre le Tarn.

“Nous avons œuvré pour la mixité sociale”

En 15 ans de lice au comme voisin des terrains et des jeunes, il a vu le rugby marcher. “Les exigences ont changé. Ça se professionnalise chez les jeunes. Quand j’ai commencé, il y avait 35 bénévoles, maintenant c’est plus de 50. Aujourd’hui, dès 6 ans, les petits s’entraînent 2 fois par semaine !”

Fabrice Norgieux met en devanture, au-delà de l’configuration culturiste, le gésine complet par l’internat de rugby au fil des années quant à la mixité sociale sur les terrains. “Nous avons œuvré pour intervenir dans les zones prioritaires, avec l’association Rebonds. On s’est rapproché des écoles également.”

On peut délaisser le rugby, uniquement le rugby ne vous-même déchargé oncques : entre sa conte vie, Fabrice continuera d’convier des jeunes, “en compétitions UNSS”. Et il le promet, il viendra régulièrement apercevoir les équipes de jeunes du Castres Olympique. Désormais en faible participant.

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