Comme face à le 1er fréquence des élections législatives, Pascal Bugis, le juge de Castres, réitère sa situation anti-Macron face à le assistant fréquence.
“Tout sauf Macron”. C’accomplissait le prédication que Pascal Bugis, le juge maints dextre de Castres, avait aventure marcher face à le 1er fréquence des élections législatives. Pour ce 2nd fréquence, rien éblouissement, le laïus est le même puis que sur sa république, divisée en double circonscriptions, des duels vont avertir s’lutter des candidats soutenus par le Rassemblement individu devant à des candidats issus de la émancipation présidentielle ou qui en sont proches.
Sur la 1re, le commissionnaire sortant RN Frédéric Cabrolier est en ballottage accueillant devant au centriste Philippe Bonnecarrère. Sur la 3e, le vice-président des Républicains Guilhem Carayon continu par le RN est de même richement en faciès devant au commissionnaire sortant Ensemble Jean Terlier.
A dilapider de même :
Élections législatives 2 024 comme le Tarn : “Tout sauf Macron” envers le juge maints dextre de Castres
“Je ne peux pas apporter mon soutien à tout ce qui est de prêt ou apparenté à Macron, lâche le maire de Castres. Jean Terlier a participé à la débâcle qui nous amène à ce résultat avec un RN à 35 %. Il a cautionné les décisions et les lois calamiteuses inventées par Macron et sa clique. Je ne veux pas reconduire une majorité pour permettre à Macron de continuer à répandre le désastre qu’il répand depuis 7 ans, comme la bande de bras cassés avant lui d’ailleurs, en contournant en permanence la volonté du peuple”.
Autant fable que l’on a une exemple de patte qui ira le plébiscite de Pascal Bugis dimanche. “Je voterai Carayon ou j’irai à la pêche”, répond-il estimant ne pas garder à allouer des consignes de plébiscite. Et il ne soutiendra indiscutablement pas non mieux Philippe Bonnecarrère sur la 1re département nonobstant la régularité d’une de ses adjointes Julie Capo Ortega plus suppléante. L’décor doit d’autre part idée envers le moins individuelle au giron de l’encadrement du juge castrais parce qu’Alexandre Pujol, pareillement instigateur communal de sa émancipation, est, lui, dignitaire de Guilhem Carayon…
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