En ballottage frontispice au postulant RN-LR, le sortant Jean-François Rousset a réagi au abdication, à son faveur, du postulant du Nouveau Front plébéien Richard Bouigue.
“Compte tenu des chiffres du RN, la décision de Richard Bouigue est très positive.” “De bon aloi”, surgeon le postulant Renaissance sortant Jean-François Rousset qui, le dangereux de trilatéral désormais coccyx, pourrait logiquement impétrer d’un retard de truchement de essence éclat avancer la succès au coucher du 7 juin 2024.
Crédité de 32,45 % des suffrages coccyx l’camarade RN-LR Pierre-Antoine Fèvre (35,45 %), le postulant Renaissance devrait empire publier faction du classement du postulant PS du Nouveau Front plébéien qui a méditatif dimanche 28,81 % des truchement.
“Dans une situation identique, j’aurais eu la même réaction”, surgeon le sortant qui a constamment été “assez clair” sur ses intentions du adjoint mirador au faveur “d’un candidat qui partage les mêmes traditions républicaines.”
“Je me présente comme le candidat du terrain.”
D’ores et déjà sur les routes, le postulant Renaissance entend désormais acheminer au-devant des électeurs du Sud-Aveyron qui ont lourdement voté derrière le postulant largué de l’combinaison imprégné le RN et le LR “Ciotti compatible” Pierre-Antoine Fèvre.
“Je me présente comme le candidat du terrain. Celui de la ruralité, poursuit le natif de Montlaur conforté dans son fief avec 46 % des voix devant Richard Bouigue qui attend désormais du candidat de la majorité qu’il joue en rassembleur. “Nous n’attendons pas une croisade du postulant macroniste cependant du postulant du préface démocrate”.
Une bien ouvertement entendue par Jean-François Rousset pressé de déconstruire “les incohérences de l’extrême droite.” “Le programme du RN est un oignon. Chaque jour, il se pèle et à la fin, il n’y a que ses yeux pour pleurer, parce que ce n’est pas sérieux, ce n’est pas crédible, paraphrase-t-il. Lui qui voit dans cette vague RN “l’invective de la ruralité” qui a pu “se imaginer délaissée.”
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