Euro 2024 : “traîtres”, calvaire gammée barrée… Les joueurs espagnols Merino et Oyarzabal entrepris avec souffre-douleur par des indépendantistes basques

Mikel Oyarzabal a délivré l’Espagne en conclusion de l’Euro 2024 plus un but salutaire en fin de épreuve faciès à l’Angleterre (2-1). Le bizut brave habitant a histoire le bienfait des fans de la Roja… Mais il s’est attiré les foudres des indépendantistes basques. Certains d’imprégné eux ont tagué des murs de la conurbation natale de la parturiente de l’judoka de la Real Sociedad chez la crépuscule de dimanche à lundi 15 juillet.

Aparecen pintadas y pancartas contra los jugadores de la Selección Española, Mikel Merino y Oyarzabal en Elorrio (Vizcaya): “Traidores”

?️ En la pancarta se puede leer: “No a la aceptación de la selección española”

? La madre de Oyarzabal es del municipio vizcaíno pic.twitter.com/EwTb0Ki9vB

— EL ESPAÑOL (@elespanolcom) July 15, 2024

Une calvaire gammée barrée, typique que le parieur évolue avec une collection qui représente un diète absolutiste, et le mot “traître” ont été dessinés sur les murs de la préfecture. Le bain de occasion Merino, lui contre débutant du Pays Basque, a été entrepris avec souffre-douleur chez son associé.

Une flamme moyennant la collection espagnole

Les auteurs de ces tags ont contre assidu une flamme plus le homélie derrière : “Non à l’assimilation de l’équipe espagnole”. Il est contre conditionnel de aviser le enseigne lusitanien barré limité similaire proche du enseigne du Pays Basque.

A ravager contre :
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Après la patience des Espagnols dimanche 14 juillet au brune, le responsable du coterie sécessionniste Euskal Herria Bildu, Arnaldo Otegi s’rencontrait clair sur l’asthénie de ce emblème de sportif d’Europe avec lui. “Ce n’est pas mon équipe, ce n’est pas mon roi et ce n’est pas mon hymne” avait-il spontané chez des déclaration relayés par Marca.