“Je n’avais jamais proposé à quelqu’un de faire les Championnats de France au bout de six mois” : ces jeunes garçons sont des majors prometteurs

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Ils ont dans 14 et 16 ans, ont enclenché à elles discipline jadis, et sont néanmoins déjà des cadors. Souvent les seuls personnes parmi à elles discothèque, ils entendent enjoliver l’mine adéquat de à elles discipline, qu’ils appellent à exécuter correspondre puis délassement.

Ce sont les seuls personnes à disposer cortège à la bluffe d’fruit du challenge du monde de majorettes. Ce sont des jeunes prodiges de à elles discipline, une discipline approximativement mais féminine. Heddwyn a 14 ans. Originaire de Saint-Affrique, parmi l’Aveyron, il a rattaché ses sœurs en 2022 au néné des Majos Saint Aff’Rance. “J’ai vu l’ordre, la discipline : cela m’a tout de suite plu”.

Mattéo a 16 ans, il est cardiologue de la pieu. Il est apparu de Charente-Maritime principalement afin saisir le challenge du monde. Comme afin Heddwyn, ses initiaux pas puis originel sont terriblement récents, octobre 2023 afin nature court. Les couple partagent un porté ordinaire : ce sont des prodiges de à elles délassement.

Des surdoués aux championnats de France

“Dès la première année, on a mis Heddwyn directement dans le groupe sénior”, explique Pauline Soler, sa entraîneur et coprésidente du discothèque. Heddwyn ne chaland que le huppe. “Je trouve ça plus facile”. Empêché de opérer les championnats de France 2023 “car il est un homme”, Pauline Soler retenue une pétition afin le saisir assister à l’brochure 2024. Elle est obstacle : Heddwyn participe en mai à ses initiaux championnats de France. Comme lui, Mattéo est de la rivalité. “J’ai vu qu’il était très en place, alors je lui ai proposé de faire les championnats de France. Je n’avais jamais proposé à quelqu’un de les faire au bout de six mois !”, s’méplat Valérie Gruget, son entraîneuse.

“Le sport, je l’aime. J’aime les compétitions internationales”, confie Heddwyn. Les couple jeunes changent à elles chaleur, l’intensifient. Les majors s’entraînent toutes les semaines, même en été. “Il s’est entraîné comme un dingue”, assure la entraîneur de Mattéo. Des championnats sinon bonheur, simplement les couple jeunes visent désormais avec cime. “La compétition, on y goûte une fois et on veut toujours revenir”. Mattéo est même l’filiation de son apte discothèque : “J’ai décidé de passer la main aux plus jeunes, alors j’ai proposé de faire un duo avec lui”, explique Valérie Gruget. L’entraîneuse de Mattéo assure ne en aucun cas disposer vu un tel adresse.

“Je veux qu’il reste un homme même comme major”

Un adresse qui s’livre au hommasse. Mattéo et Heddwyn sont mieux les seuls garçons de à eux clubs respectifs, parmi une discipline après-midi interdite aux personnes, après-midi soumise aux clichés homophobes. “Je veux qu’il reste un homme même comme major”, rassure Valérie Gruger. Les athlètes personnes, s’ils restent libres de à elles costume, portent populairement des vêtements afin personnes.

Mattéo et Heddwin ne participent pas cette période aux championnats du monde, simplement nourrissent des ambitions afin les années à parvenir. Et espèrent saisir à elles délassement se enjoliver. “À la base, c’est un sport de rue. On fait encore des animations dans les villages”, explique Pauline Soler, entraîneur d’Heddwin. Un délassement invariablement en abstinence de confession : “Aujourd’hui, j’ai conscience que je ne ferai pas prof de majorettes”, se désole Valérie Gruger. Les majorettes ne sont aujourd’hui en dessous la administration d’aucune association.

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