“Je n’y ai rien appris rugbystiquement…” Fabrice Culine, antédiluvien compétiteur du SU Agen, agio le Racing de Pierre Berbizier

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Lors d’une oblongue causerie pour nos colonnes ce dimanche, l’antédiluvien étrangère haie du SU Agen a matérialisé son appareil du côté du Racing.

Fabrice Culine se façade lumineux au conjoncture d’rappeler son appareil du SUA. “L’aventure au Racing, c’est une période traumatique qui n’a pas totalement cicatrisé et ne cicatrisera jamais je pense. J’arrive au Racing motivé comme jamais après une préparation individuelle sérieuse. Je voulais marquer les esprits. Parallèlement, ma femme est enceinte et on part le sourire aux lèvres. Mais le gros souci est que ma femme accouche et mon enfant a un souci de santé assez contraignant.”

“L’incompétence rugbystique du club”

Ce question, le étrangère haie “n’en a jamais parlé”. “Ayant fait le choix de Paris, on était à 500 kilomètres de la famille et ma femme s’est retrouvée quasiment seule. J’étais écartelé entre le fait d’être avec elle et le fait que je devais être à 100 %. Et mon fils avec ses problèmes. Cela a été une torture psychologique : je voyais ma femme souffrir et je voyais ma carrière partir en fumée. J’avais enchaîné quelques bons matchs avec le Racing, puis il y a la naissance de mon fils, je me blesse… Je vois bien que Pierre Berbizier commence à tordre le nez”, détaille l’intéressé.

Et ce n’est pas généralité. “Parallèlement à cela, j’ai été perturbé par l’incompétence rugbystique du club. Berbizier, c’était un très bon joueur, un bon manager pour utiliser le talent des joueurs mais, rugbystiquement parlant, je n’ai strictement rien appris. Physiquement, j’ai beaucoup progressé, j’étais au top. Je le dis sans aucune amertume mais rugbystiquement parlant, c’était le vide. Grosse déception. Mais j’ai beaucoup appris sur un plan humain.”

Si la vernissage moment trouvait de la sorte compliquée, la suivante n’a pas forcément été meilleure. “La seconde année, c’était différent. Je n’avais plus de problèmes, ma femme allait mieux, mon fils allait un peu mieux donc encore une fois je reviens préparé. Les joueurs me disaient qu’ils ne comprenaient pas pourquoi je ne jouais pas. Même le président Lorenzetti m’avait dit qu’il gardait un œil sur moi et qu’il ferait en sorte que Berbizier me laisse ma chance. Sauf que non : frigo toute l’année. Incompréhensible au vu de mon comportement et de mon investissement. Personne ne comprenait.”

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