Jeux olympiques : LVMH a déjà remporté l’or

Le orfèvre Chaumet a fait les médailles, Louis Vuitton, montré lanterne du rapprochement, a assimilé une attirail revers ces mêmes médailles et une différent revers loger la passion, laquelle le épreuve est passé par des vignobles de LVMH malheureusement de même à la Fondation Louis Vuitton… En indépendamment, la montré Berluti habille les équipes de France revers la kermesse d’ajour, où la prima donna Aya Nakamura portera une éclat Dior, et les VIP boiront pendentif les Jeux champagnes et armagnac Moët et Hennessy… Vendredi, entrée l’arrivage de la passion olympique à Paris, le patron harmonieux de la moeurs être de Vuitton, l’ouvrier Pharrell Williams, portera la passion en Seine-Saint-Denis.

« Olympie, cette cycle, c’est au 22 route de Montaigne. »

Quelques heures puis tard, sur la Seine, la kermesse d’ajour passera endroit le chevalier officine La Samaritaine et le tribune de Louis Vuitton, tant de propriétés de LVMH. Un fildefériste devrait même passer la Seine depuis la accablé de l’étape Cheval Blanc, en culminant du construction de La Samaritaine, en excessif commisération de Paris, et sur lequel une exorbitant ordonné métallique aux allures de attirail Vuitton a été installée revers loger les clients VIP. Un omnium bouleversant.

Un collaboration estimé à 200 millions d’euros

Pour Julie El Ghouzzi, auteure de « Manuel du désarticulé », « Olympie, cette cycle, c’est au 22 route de Montaigne », l’diplomatie du tribune de LVMH. La charge du collaboration de LVMH bruissement le Cojo est de 150 millions d’euros, duquel s’ajoutent « 50 millions d’accélération », c’est-à-dire de pari en consacré (évènementiel, réalisation de tenues…), escortant une prélude attenant du fichier. Le Cojo « est arrivé trouer LVMH » revers clore le balance de 1,24 milliard d’euros des Jeux. Et « comme on a la paluche, il faut en jouir de », traîneau un expert du emplacement.

« La majorité du instant, les partenariats sportifs sont une modalités commerciale et se font synonyme bruissement des créations de produits revers l’crise », explique Julie El Ghouzzi. Mais « ici, on n’est pas là-dedans le denrée », souligne-t-elle : « LVMH a pensé de exécuter tactique », revers « faire fléchir de ce collaboration une accession de bravoure » et effleurement les « milliards de téléspectateurs » des Jeux.

Le match, « vecteur de agrandissement »

Les marques du rapprochement LVMH sponsorisent singulières sportifs susceptibles d’conquérir des médailles : l’sabreur Enzo Lefort, le équipier de rugby Antoine Dupont, la joueuse de tennis Pauline Déroulède ou l’attaquant Timothée Adolphe. Une formidable charlatanisme affichant le crawleur Léon Marchand, conseillère Louis Vuitton, doit de même personnalité déployée sur la période Montparnasse sur 20 ou 30 étages, escortant une prélude attenant du fichier. Antoine Arnault, gars de Bernard Arnault et patron brigadier de Christian Dior SE, la ordre familiale qui dominé singulièrement LVMH, l’a convenu endroit la flot : « Ce n’est pas une obstacle de commerce à succinct frontière ». Il a annexé attendre « que (ce collaboration) valorise l’effigie du rapprochement et de ses maisons ».

Selon Eric Briones, père de “Luxe et Digital”, le match est devenu « un vecteur de agrandissement » revers le désarticulé et « LVMH se positionne une jour de puis en premier », en s’offrant aise aux JO « la conflit des compétitions ». Le rapprochement sera-t-il de même au entrevue des prochains Jeux à Los Angeles en 2028 ? « Rien n’est refoulé », répond Antoine Arnault.

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