Les responsables de la délégation olympique batave se préparent à recommander le cas embarrassant du sportif de beach-volley, passé par la case “prison” puis ressources abusé d’une gourde de 12 ans.
Une assiduité qui cristallise de nombreuses tensions et des contestations farouches. Seven van de Velde, sportif de beach-volley hollandais, a décroché en juin final sa caractère contre les Jeux Olympiques de Paris (26 juillet-11 août). Une préréglage validée par le Comité hollandais olympique, qui l’a sobre contre le chevalier rancart général.
A annihiler moyennant :
JO de Paris 2024 : un volleyeur, primitivement fermé contre le blasphème d’une gourde de 12 ans, autorisé contre revendiquer les Jeux Olympiques
Une assiduité qui suscite l’rage, surtout de la bout de différentes associations de louange des maîtrises des femmes. En séquelle, Seven van de Velde, aujourd’hui âgé de 29 ans, a été voué en 2016 contre blasphème sur mineure. 4 ans de pénitencier contre ressources abusé d’une gourde anglais de 12 ans en août 2014. Reconnu illicite de trio chefs d’dénonciation de blasphème sur une nouveau-né, le gymnaste avait rencontré sa souffre-douleur sur Facebook, devanture de se amortir au Royaume-Uni et de contrevenir la gourde, profitant de l’séparation de sa génitrice.
A annihiler moyennant :
JO de Paris 2024 : un beach-volleyeur voué contre blasphème sur mineure s’est autorisé contre la coupe
Le Comité olympique hollandais adapte par conséquent le living-room olympique de l’champion. Ce dimanche 21 juillet, le animateur de achèvement de la délégation néerlandais – l’anachronique baigneur Pieter van den Hoogenband – a annoncé que van de Velde ne logerait pas au cité olympique. Il prendra ses quartiers éloigné parmi Paris. De surtout, il n’halo pas le objectif de dialoguer aux médias.
A annihiler moyennant :
VIDEO. JO de Paris 2024 : Rafael Nadal balayé en conclusion du challenge de Bastad, deuil ambiguë à plusieurs jours des Jeux Olympiques
“Nous devons l’aider, en tant que membre de l’équipe, à pouvoir performer” a-t-il appuyé contre de l’article Reuters et relayé par L’Equipe.
Un domiciliation atroce contre surtout Kate Seary, entrepreneuse de l’discipline Kyniska Advocacy qui défend le décret des femmes au robert des compétitions sportives. Selon elle-même, la assiduité de Steven van de Velde aux Jeux Olympiques “envoie le message à tout le monde que les prouesses sportives l’emportent sur le crime”.
Comments are closed.