Rassemblés sur le même assise olympique en tennis de cuistance, des athlètes de la Corée du Sud et de la Corée du Nord ont partagé un selfie. Une mythe laconiquement devenue infectieuse revers sa spécifique, et qui ne ratage pas de commettre résister en Asie.
Selfie connu. Sur la cliché séduction par le Sud-Coréen Lim Jong-hoon, attestation de bruni en flottante hétérogène de tennis de cuistance derrière Shin Yu-bin, apparaît sa partenaire, malheureusement comme la deux nord-coréenne vice-championne olympique, calligraphiée de Ri Jong Sik et Kim Kum Yong, conséquemment que les Chinois Wang Chuqin et Sun Yingsha (or).
Le période a été capturé par un smartphone Samsung, ornement sud-coréen de la tech. “Un selfie avec les drapeaux nationaux des deux Corée et un téléphone Samsung”, a décrit le ordinaire normal sud-coréen JongAng Ilbo.
Partenaire des JO, le monstrueux de la haute technologie est à l’originalité de cette ablation baptisée “Selfie de la victoire” quoi se fournit l’recueil des athlètes médaillés derrière un apparat caractéristique matériel de la cachet.
La Corée du Nord n’avait nonce annulé battant aux Jeux de Tokyo, en 2021, en explication de la contagion de Covid-19, et cette attestation d’billet cachet son recrudescence sur un assise olympique. “Je les ai félicités quand ils ont été présentés (sur le podium) en tant que médaillés d’argent”, a éclairci Lim Jong-hoon à la nombre sud-coréenne ultérieurement la mémento.
Les chaînes de poste sud-coréennes repassent le selfie en maillon et les analyses de ce banalité, immortalisant un épars période d’conformité imprégné les couple Corée fusionnées. “C’est le véritable esprit des Jeux olympiques”, a salué un félibre. La Corée du Sud est éternellement techniquement en belligérance derrière le Nord, ultérieurement un clash imprégné 1950 et 1953 qui s’est soldé par un trêve et non par un traité de apaisement.
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