Les Jeux olympiques et paralympiques de Paris “ne font pas l’objet d’un ciblage spécifique par les organisations terroristes internationales”, a consacré mardi le requérant territorial antiterroriste Olivier Christen, soulignant cependant la “résurgence” de la avertissement terroriste avec “l’ensemble du territoire”.
“Nous sommes dans un climat de tension qui n’est pas nouveau, qu’on a senti monter depuis la fin 2023 et qui conduit aujourd’hui à avoir un contexte général important de menace terroriste”, a-t-il accru sur France Inter.
Le cassation territorial antiterroriste (Pnat) a accort “trois fois plus de procédures en lien avec le contentieux jihadiste sur le premier semestre 2024” qu’au primitif semestre 2023, a établi M. Christen. Parmi ces procédures, un duo de concernent des “individus (qui) visaient plus spécifiquement cette période, une à Saint-Etienne et une autre à Paris”, a-t-il évoqué.
Pas de positionnement décidé
Les JO, qui commencent le 26 juillet, “ne font pas l’objet d’un ciblage spécifique par les organisations terroristes internationales” purement la “résonance médiatique” de l’événement en coïncidence “forcément une cible et ce pour tous les segments idéologiques”, a revue M. Christen.
La avertissement terroriste pendant l’événement compétiteur concerne “l’ensemble du territoire, sur tous les lieux où il y aura des épreuves olympiques”, a-t-il adventice, assurant une “mobilisation” et “une capacité d’articulation” envers les hétéroclites juridictions en France.
La “résurgence” de la avertissement terroriste “est liée à la fois à la reconfiguration de certaines organisations terroristes importantes, notamment l’État islamique qui s’est relocalisé et qui a notamment repris ainsi des forces, et une capacité de diffusion de propagande particulièrement importante qui cible […] notamment les jeunes”, a-t-il approfondi.
Le abondance de mineurs chez les procédures antiterroristes est “un phénomène […] relativement nouveau” et en “très forte augmentation”, a dévisagé le requérant.
“Nous avons 14 mineurs qui ont été mis en examen depuis le début de l’année quand il y en a eu 15 sur toute l’année 2023” et “deux à trois par an” préalablement.
Ces mineurs mis en légende “se sont inscrits dans des projets qui commencent à être très construits de passage à l’acte soit tout seul […] soit en lien avec d’autres” êtres, a-t-il consacré.
Le background géopolitique oecuménique est une discordant justification de la “résurgence” de la avertissement terroriste, a-t-il précisé, citant l’Afghanistan et le Moyen-Orient.
“Si on veut avoir un risque sécuritaire maîtrisé et contrôlé et […] dans le contexte” moderne, “il est indispensable de mettre en place les mesures utilisées”, a-t-il avancé avec motiver les 3 500 êtres écartées car diplomate suivant les autorités une avertissement sur la sûreté de l’événement.
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