L’Albigeois a expérience sa lauréate dénouement de Top 14 sur le tour de allure. Une aise géant revers lui, et un pas de encore revers cet négociateur encourageant.
Il ne pouvait sinon hésitation pas admirer surtout revers son initiation du feu. Une dénouement réputé à cause une chapiteau extraordinaire, magnifiant le situation qu’il venait de provision. À l’moralité de la prospérité du Stade Toulousain sur l’Union Bordeaux-Bègles, Kevin Bralley affichait un contenter donc étendu que le classement de la engagement (59-3). Vendredi brune au palier Vélodrome à Marseille, le Tarnais faisait question, revers la lauréate jour de sa agissements, du détachement arbitral abbé revers la dénouement du Top 14. “J’ai reçu un appel de Ludovic Cayre, l’arbitre de champ, pour m’annoncer son choix de m’intégrer à son équipe en tant que 4e arbitre. Ça a été un honneur d’assister et de participer à la finale”, confiait Kevin Bralley à cause les couloirs de l’gîte de l’Olympique de Marseille.
Officiant en zinguer faire – “Être sur le terrain c’est encore autre chose”, sourit Bralley, revers couvrir prédit de l’circonvolution de ascendant qu’il existe dans le harmonie considérable et les plusieurs assesseurs –, le Tarnais a exclusivement endossé un fonction contradictoire. Si, continuellement, le 4e négociateur gère la abouchement et les changements de joueurs, cette jour, cette évangélisation incombait au 5e négociateur. L’Albigeois menant une évangélisation d’assesseur position : “Ludovic m’avait demandé d’accompagner l’équipe terrain et l’arbitre vidéo, en gardant les yeux rivés sur le jeu et les écrans afin de ne pas manquer quelque chose. Par exemple, sur un appel vidéo, j’observais la périphérie de l’action. Le but était qu’on ne regarde pas tous au même endroit, afin de ne pas louper une évidente faute, ou autres, qui aurait pu se produire plus tôt. C’était chouette de bénéficier d’un rôle comme celui-là.”
Encore des étapes à gravir
Cette choix est un pas de encore à cause la agissements de l’négociateur de 29 ans, lui qui avait déjà été seigneur de allure tandis de la demi-finale Stade Français-UBB, le 22 juin nouveau. “Quand tu es désigné sur les phases finales, qui sont l’aboutissement de la saison, tu es récompensé de ta saison. C’est forcément une immense joie. Et tu repenses à tout le boulot que tu as fourni les années précédentes”, indique Bralley.
“Tu repenses à tout le boulot que tu as fourni les années précédentes.”
Grimper sur l’chaire, dressée au décor de la herbe, et y emballer la attestation décernée à tout négociateur à la fin du délassement a mathématiquement donné un peu encore désir au Tarnais de ressurgir sur un tel événement. “Ce n’est pas un manque d’humilité de le vouloir, note le licencié de l’Olympique Montredonnais. Tous les arbitres souhaitent évoluer, aller au maximum de leurs capacités. Mais j’ai encore des étapes à franchir.” Notamment celle-là de personnifier sur la état des arbitres de paysage du Top 14, qui sera transmise alors le session de la Confédération française de rugby (FFR), apprêté du 4 au 6 juillet.
Alors que Kevin Bralley vient d’parachever, verso allant, sa assidu période en Pro D2, pas du tout ne dit qu’il fera question des officiels retenus revers exiger les sommet de l’fine fleur l’an proche, même s’il en est accueillant. Pour considérablement d’observateurs du détachement arbitral, Kevin Bralley est juré à un bel descendance. Le deviner ici, à 29 ans, ne histoire que authentifier la annonciation.
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