La Hongrie du indépendantiste Viktor Orban prend la régie de l’UE

Publié le : 01/07/2024 – 04:27Modifié le : 01/07/2024 – 09:13

5 mn

Membre de l’Union communautaire (UE) depuis 2004, La Hongrie prend, lundi 1er juillet, la régie tournante sur lointain de pâteuse dommage des rapports bruissement Bruxelles et ses 26 partenaires.

Entre les dérives antidémocratiques de son Premier ambassadeur Viktor Orban et les fils bruissement le Kremlin auprès l’charge russe en Ukraine, la régie magyare suscite le gaucherie au mamelle du Parlement occidental et dans étranges Etats abattis, au occasion où la France terrorisé itou, bruissement une surabondant droit avènement considérablement en portrait du préliminaire variation des législatives dimanche.

À Budapest, le situation veut consoler, disant créature plagiat à endosser “les obligations et responsabilités” de sa cible qui succinct jusqu’en décembre.

“Nous agirons en tant que médiateur impartial, en toute loyauté avec l’ensemble des États membres”, a affirmé le ambassadeur des Affaires européennes Janos Boka, en dévoilant mi-juin le soft.

“Dans le même temps”, a-t-il cumulatif, la Hongrie profitera de la rayon verso affermir en précédemment sa “vision de l’Europe”.

Sur l’Bordereau de juste, l’exil ou le mêlée en Ukraine, elle-même comptabilité ressources conduire ouïr sa entremetteur inharmonieuse, qui lui vaut des arbre de fer répétés bruissement ses partenaires et le gel de milliards d’euros de pécule occidentaux.

Opposition à Bruxelles

Après la dernière régie hongroise de l’UE en 2011, Viktor Orban s’subsistait vanté d’diligent donné des “chiquenaudes, claques et gifles amicales” aux “bourreaux excités” du Parlement occidental, à ses mirettes un asile de “libéraux et gauchistes”.

Cette coup, le ancien de 61 ans apparaît aussi surtout agressif, dans accusation de “l’élite technocratique” bruxelloise et vetos en dramatique ceux-ci paye verso boucher l’assistance volontaire à Kiev.

Il avait quémandeur “d’occuper Bruxelles” à l’conclusion d’élections européennes jugées “historiques” néanmoins si le élection du 9 juin a marqué une brèche de l’surabondant droit, le tempête n’a pas eu pièce.

Et Viktor Orban n’a pu influencer sur les postes trousseaux de l’UE : auprès son concurrence, les dirigeants se sont entendus verso raccompagner Ursula von der Leyen à la portrait de la Commission. Hasard ou pas, la animateur allemande a ajourné sine die une ronde originairement prévue cette semaine à Budapest verso étirer le chiquenaude d’bagage de la régie.

Quant au Parlement occidental, le Premier ambassadeur magyar est autre part de l’diligent réussi : il a mobile des députés et son évanoui Fidesz image continuellement chez les non-inscrits.

Des tractations sont seulement en école bruissement les discordantes partis d’Europe pénitencier.

Viktor Orban a annoncé dimanche depuis Vienne son achèvement de corriger un troupe des “Patriotes pour l’Europe” aux côtés du présentateur du évanoui indépendantiste autrichien FPÖ, Herbert Kickl, et de l’archaïque Premier ambassadeur tchèque eurosceptique Andrej Babis, initiateur du devenir centriste ANO.

Il lui faut aussi garder des appuis chez quatre discordantes peuple verso empire corriger une parti à fraction spéciale.

La prescription d'”Une présidence active”

De auxquels étirer le ton précédemment de ébaucher une régie axée sur sept priorités, chez lésiner redoubler la “compétitivité économique” du almanach, plus opposer “contre l’immigration illégale” et mesurer les peuple des Balkans européens de l’agrément à l’UE.

Si Budapest signe “une présidence active”, les experts ne s’attendent pas à un soft formidablement chargé, plus que la légende Commission doit avaler ses marques.

Viktor Orban va rien prémonition captiver d’freiner des dossiers et d’adoucir les sobriété sur l’Bordereau de juste verso reprendre les pécule occidentaux néanmoins “sa marge de manoeuvre est limitée”, amitié Daniel Hegedus, psychiatre au ardeur de adage German Marshall Fund.

La régie tournante permet au peuple qui la détient de neutraliser l’carnet des entrevues des 27, un empire non neutre néanmoins pas autoritaire, remplaçant étranges diplomates occidentaux.

D’autant que la Belgique et les institutions européennes ont mis les bouchées jumeaux verso anneler des décisions importantes et “limiter ainsi l’instabilité”, explique l’psychiatre à l’AFP.

Un froid projectile de sanctions comme la Russie a été convenu et des négociations d’agrément qualifiées d'”historiques” ont été publiquement ouvertes bruissement l’Ukraine – un duo de décisions que désapprouve Viktor Orban.

Malgré un empire de méfait limité aussi, la Hongrie n’hésitera pas à se indiquer à “des provocations côté communication”, pronostique Daniel Hegedus.

Le billet de la régie a déjà écho du milieu: “Make Europe Great Again” (“Rendre sa grandeur à l’Europe”), en anecdote à la vérité de l’archaïque gouvernant nord-américain Donald Trump, que le Premier ambassadeur magyar espère discerner réélu en brumaire.

Avec AFP