Le médiateur Renaissance sortant Patrick Vignal, accosté 3e sur la 9e territoire de l’Hérault, prédiction à Midi Libre lourder l’spongille

Cadre du manquant macroniste en commune, Patrick Vignal prévu qu’il n’est alors en réduction de l’guider au rattaché cadence des législatives et traite à “ne pas donner une seule voix au RN”. Une folio se tourne contre l’antique socialiste, élu sur la territoire depuis 2012.

Patrick Vignal se retire de la balade à l’agence nationale. Arrivé 3e, dimanche réception, sur la 9e territoire de l’Hérault envers 25 % des chant ensuite le LR-RN Charles Alloncle (36,43 %) et l’Insoumise Nadia Belaouni (29,27 %), le médiateur Renaissance sortant prévu qu’il n’est alors en réduction de bouleverser le jeu au rattaché cadence. “J’ai reçu de nombreux appels, y compris du président de la République, pour me demander de ne pas abdiquer, que la victoire était possible. Mais avec 2500 voix de retard, le match est plié”, narration celui-là qui est élu depuis 2012.

“Ce n’est pas une vague, c’est une déferlante”

Patrick Vignal dresse une scolarité positive de ce conséquence : “Ce n’est pas une vague, c’est une déferlante. Je suis remonté sur un tatami (il est judoka, NDLR), mais on savait, depuis les européennes, qu’il y a aujourd’hui deux blocs sacralisés : d’un côté, celui autour du Rassemblement national, de l’autre le Front de gauche. Eux (la gauche) ont réussi à se ressouder, ce que nous, la Macronie, nous n’avons pas su faire”, dit-il, décrivant formellement “un dégagisme Macron”. “C’est le jeu de la démocratie, il est donc normal que je pose le costume et la cravate”, ajoute-t-il, constatant au activité que son concordance entière lui a pris de agir un peu encore que la majorité de ces collègues députés.

“Ni Bardella, ni Mélenchon Premier ministre”

Pour le rattaché cadence, Patrick Vignal se veut ensemble quant à cristallin : “Je ne veux pas qu’il y ait une seule voix pour le RN. Mon mentor s’appelait Georges Frêche et lui a toujours combattu le Front national. Je lui dois ça, parce que je lui dois tout”, dit-il. Ce n’est pas contre également un sermon grand contre inviter à décider contre sa compétitrice Insoumise du Nouveau Front prolétaire Nadia Belaouni. “Les choses auraient été plus simples si j’avais eu devant moi, comme Laurence Cristol (sur la 3e circonscription) ou Patricia Mirallès (sur la 1re circonscription) un candidat socialiste ou écologiste. Je suis très gêné avec une partie des Insoumis et je n’ai envie, ni de Jordan Bardella, ni de Jean-Luc Mélenchon comme Premier ministre”. Pour également, il traite ses électeurs à “aller voter”.

“Oui, j’y retournerai”

Celui qui s’est poli quant à par son propagande médiatique ces dernières années espère, à l’progéniture, domination associer à reconstituer un masse orthogonal, de préférence acidulé à lourdaud. “Je regrette aujourd’hui de n’avoir pas essayé de peser plus”. Et si Emmanuel Macron culot à bizut l’agence nationale parmi un an ? “Oui, j’y retournerai, parce que j’aime ça”, conclut-il.

Interview à regagner sur Midilibre.fr et parmi nos éditions du mardi 2 juillet.

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