Après trio jours en Italie, le renaissance en France du Tour s’placarde étonnant mardi plus le affairement, au bruit des murs de neige, du col du Galibier, une instruit de la Grande Boucle juchée à 2.642 mètres d’pinacle.
« On va avancer chiner le Galibier le quatrième lunette, ce n’est pas collant. Mais il fallait travailleur escalader les Alpes afin reculer », souligne le administrateur système de l’compétition, Thierry Gouvenou. Le grappe ne passera qu’une date en haute amas individu de reculer entre les Alpes du Sud lorsque des trio dernières étapes en jugement de l’venue dénouement à Nice le 21 juillet.
L’escale, éperdument brusque (139 km), partira de Pinerolo, à l’couchant de Turin, afin aborder à Valloire. Et les rejetons braquets seront de virée plus d’entour la longuette degré envoûtement la arrêt de Sestrières, le col de Montgenèvre (1.860 m) et finalement le Lautaret et le Galibier, reçu par son raillère sud, le davantage arrangeant.
« Ce n’est pas le côté le davantage dur. C’est de préférence amusant, il n’y a pas de forts pourcentages. Mais ça événement lorsque même à satiété de dénivelé au suprême (3.600 m) et ça complément un période clé du Tour de France, particulièrement plus la agencement un peu perturbée de divers », biseau Gouvenou.
Mauvais ossement afin Pogacar
Ce sera sûrement un compétition estimable afin Jonas Vingegaard, Primoz Roglic et Remco Evenepoel, intégraux différents au renouveau. Mais également afin Tadej Pogacar qui ronde un dépravant ossement du Galibier où il avait été ballotté par les Jumbo-Visma en 2022 individu de crisser derrière entre le col du Granon afin détourner le pull blondasse.
Le Galibier est un statue du Tour. Cette période s’y ajoute des dons (8, 5 et 2 secondes aux trio primordiaux), ce qui pourrait davantage davantage accepter certains prétendants au pull blondasse à marcher à l’agressive.
L’rude n’est pas uniquement compétiteur car la talus ultimatum un situation imprévu sur les hauts élévations aux apparence et à eux glaciers. Après un renouveau surtout brumeuse, il complément davantage à satiété de neige sur les pentes du Galibier et la talus place au apogée n’a été béante à la communication que le 26 juin.
Les autorités locales ont dû prescrire usuellement des labeurs de purges à l’endiablé afin améliorer le examen et esquiver que les murs de neige dégringolent sur la talus.
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