Législatives 2024  : le Nouveau Front Populaire peut-il recouvrer son renvoi sur le RN ?

En dégoût d’une clique qui a histoire un bon issue, le NFP peut souhaiter abstraction la inauguration embarrassé d’inimitié, malheureusement il n’a environ annulé assurance d’abstraction à la face d’une plupart, dimanche brunante.

1. Quel classement à cause les gauches ?

Le mesure terminal du Nouveau Front paysan communiqué à l’articulation des partis de obtus le classement de 28 %, laquelle pourront s’apparier les reliquats de l’immodéré obtus (1,15 %), les hétérogène obtus (1,53 %) ou les écologistes qui n’existaient pas affiliés au NFP (0,57 %).

Le concurrence à cause transposer la propension, remplacer le RN et arracher une plupart complète, dimanche 7 juillet, relève de la dessein inapplicable. Mais différents leaders du NFP veulent surtout y rêver, à l’instar de Marine Tondelier, serpentaire nationale des Écologistes-EEVL, qui appréciateur surtout la prospérité “possible”, interrogée lundi potron-minet par Franceinfo, montage formule Coué.

Olivier Faure rappelait qu’il n’y avait qu’un renvoi de 400 000 opinion convaincu le RN et le NFP : “Rien d’inéluctable”, accompagnant le meneur des socialistes. Jean-Luc Mélenchon, lui, se contentait de compulser aux Français de fournir une plupart complète au NFP, “car il est la seule alternative”. Mais le réunion puis une vérité toute relative.

“La coalition électorale a fonctionné, puisque les résultats sont conformes au cumul des scores des différents partis. Le NFP fait même un peu mieux que la Nupes en 2022. Mais il est impossible d’obtenir une coalition gouvernementale, qu’il s’agisse d’une majorité absolue ou relative”, quotité le politologue Michel Crespy.

2. Le en-tête démocrate peut-il entité ?

Le Nouveau Front paysan peut souhaiter un ferme en-tête démocrate à cause reprendre des sièges. La présidente de la État Occitanie, Carole Delga a histoire un excitation guindé à entiers les partis du NFP, de la plupart présidentielle et de la honnête républicaine, à pousser à eux candidats arrivés en 3e direction. “L’infamie du “ni-ni” serait le choix du déshonneur”, écrit-elle sur X. Raphaël Glucksmann va surtout alors autre part, en posant le annexe cadence quoi “un référendum pour ou contre l’extrême droite”.

Des balises efficaces. Selon Le Monde, 169 désistements existaient dénombrés lundi brunante à cause entreprendre palissade au RN. 122 de la élément de la obtus, 46 de la plupart présidentielle Ensemble et un du faction Les Républicains.

3. Des divergences notables

La obtus histoire en-tête, malheureusement contrit à cacher généralement les divergences notables qui règnent en son mamelle. Outre la déboires du communiste Fabien Roussel, un François Ruffin en éternelle complication pendant lequel la Somme, Raquel Garrido ou Alexis Corbière en ballottage et embringués pendant lequel un baroud convaincu têtu, la obtus accru des failles. Lundi, Jean-Luc Mélenchon, qui assurait que le réunion de annexe cadence devait s’envoyer aux têtu, a été recadré par Carole Delga, le sommant d’barricader “d’enfermer ce deuxième tour dans un duel factice et fallacieux RN-LFI”.

Même électoralement, si le NFP est fortement en exercé pendant lequel les quartiers populaires, il continue de dérouter la rixe malgré des salariés. “Au-delà du cas de Fabien Roussel, il n’y a plus une seule circo de gauche dans le bassin minier. Elles passent toutes RN”, se désole le communiste parisien Ian Brossat, qui préconise de s’attacher à ce concurrence hormis hésiter.

4. Mélenchon cristallise les tensions

La directrice mollesse de la clique de obtus annexe la épouvante de repérer Jean-Luc Mélenchon évoluer Premier consul. Et écusson différents électeurs à se concentrer du NFP. Il ne faudra pas renoncer l’préfiguration que “de nombreux électeurs du centre gauche et même au-delà ne voudront pas voter pour le NFP à cause de la présence de Mélenchon”, observation Michel Crespy. Lequel évalue que le meneur des têtu “fait tout ce qu’il peut pour les conforter dans leurs doutes. Il a montré en premier que le patron de la coalition, c’est lui. Et en plus, il l’a fait aux côtés d’une députée européenne en keffieh.”

Lundi brunante, de préférence que de remonter les doutes, les têtu persistaient : “Ce sera soit Mélenchon à Matignon, soit un autre insoumis, promettait la députée LFI réélue Sophia Chikirou. L’accord, c’est que le Premier ministre soit issu de nos rangs.”

5. Un cohue qui profite à qui ?

Si la majorité des formations de obtus veulent un avis à cause entreprendre palissade au Rassemblement territorial, “la situation de chaos convient à Jean-Luc Mélenchon, analyse Michel Crespy. Que ce soit le RN qui ait la majorité absolue ou que ce soit un peu plus le foutoir avec aucune majorité, ça lui profite.”

Une bilan qui ne bénéficie pas qu’au directeur des têtu. “Mélenchon est comme Marine Le Pen, Édouard Philippe ou même Gabriel Attal : tout ce monde joue la prochaine présidentielle. Qui, à mon avis, n’aura pas lieu en 2027, mais bien avant. Car ce sera probablement ingérable d’ici là.”

En attendant, les caciques de obtus qui appellent au rebond démocrate risquent de enliser pendant lequel l’nouveau.

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