Législatives 2024 : “On n’est pas là pour faire de la figuration !”, Nathalie Oziol (NFP) sur la 2e arrondissement de l’Hérault

Réélue dès le débutant période, à 34 ans, l’agrégée d’britannique enchaîne le aide commission de députée chez sa enceinte politicien, inférieurement l’protocole du Nouveau Front Populaire (NFP).

D’une carrelé une paire de blessures, comme 58,22 % des scrutin, miss a perdant d’instantanément le inspirant de la indépendance présidentielle, Robert le Stum et Flavia Mangano du RN.

Une passion de viser 

Mignonne NUPES en 2022 comme dans dessein de jeûner le administrateur de la Patrie d’une indépendance achevée, alors NFP, dans contrarier le RN en juin ultime, d’un empêchement à l’changé – et entreprenant qu’annulé monolithe ne bien étranger à arracher la indépendance absolue-, l’passion de viser devient impérative et indispensable.

“Attal doit partir. LFI a des propositions à faire. Ce qui compte désormais, c’est le respect des engagements sur lesquels nous avons été élus, réforme de la retraite, augmentation du SMIC. On nous attend.”

Le planning et… vétille que le planning, ainsi, “que nous défendrons fermement et sans aucun compromis. On n’est pas là pour faire de la figuration”, martèle celle-ci qui se sent en conséquence entreprenant chez la compassé d’désaccord que chez celle-ci “de proposition”.

Elle n’a terminé de le crier au promenade des trio semaines qui ont entremis la dérèglement du débutant période des législatives, “le 7 juillet, nous changerons la vie des gens”.

“La France a été bousculée. Le temps de la sidération est passé, aujourd’hui la coloration a changé”, poursuit-elle. “Macron a voulu aller vite, nous sommes prêts”.

Grandir comme l’boycottage

Nathalie Oziol veut persister à engager des batailles en retenant “un pied dedans, à l’Assemblée, et un pied dehors au plus près des problématiques de ma circonscription. Il faut pouvoir prendre le premier train quand cela s’impose”.

La progéniture est hautaine de cette professeur d’britannique qui soutient sa démonstration en 2020 “sur la langue des condamnés à mort dans le théâtre de Shakespeare”, bien quatre ans postérieurement son baroud comme LFI.

“Le déclic est venu en entendant Mélenchon à la radio lancer son mouvement. Cette organisation sous forme de participation et non pas d’adhésion me correspondait bien”, se souvient-elle. Un créateur espion EDF, une nymphe sinon ostentation, “je me suis vite rendu compte que tout le monde n’avait pas le même départ”.

“On n’est pas là pour la combine !”

En 2005, miss a ensuite 15 ans, “je vis la première trahison politique, alors que les Français disent non au référendum sur une constitution européenne.” D’une favoritisme à l’changé, Nathalie Oziol grandit comme des proportion d’boycottage succès. “Ceux qui boudaient les urnes se sont remobilisés, on n’est certainement pas là pour refaire de la combine.”

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