Le directeur de la Ligue française de football Philippe Diallo a favorable dans lequel un colloque à l’AFP mardi 2 juillet ne pas garder de “divergences” en tenant les joueurs de l’atelier de France et qu’il garantissait à elles “liberté d’expression” au sujet de les élections législatives, rappelant uniquement “le devoir de neutralité” de l’prière.
“J’ai toujours dit que je garantissais la liberté d’expression aux joueurs. Tout le monde devrait se réjouir que ces joueurs d’une vingtaine d’années se sentent concernés par ce qui se passe dans notre pays, par la société et par les problématiques de leur génération. Il n’y a pas de divergences avec les joueurs. Simplement, eux, ils sont joueurs et moi, je suis président d’une fédération. En tant qu’institution, je dois respecter la neutralité”, a clair le leader.
Le employeur de la FFF a uniquement affirmé qu’il pourrait s’raconter si “des lignes jaunes” incarnaient franchies par un exceptionnel autorité guidé par l’exagéré loyale et le Rassemblement National.
“Les lignes jaunes à ne pas franchir, pour moi, elles sont celles du respect des valeurs fondamentales de notre pays, la liberté, l’égalité, la fraternité, celles du sport et de l’état de droit. Si ces valeurs fondamentales venaient à être malmenées, à ce moment-là, dans mon rôle, je serais amené, selon les circonstances, à m’exprimer sur ces sujets-là pour protéger mon institution et les gens qui pratiquent le football”, a-t-il magazine.
Des positions principalement ou moins affirmées
Depuis à elles arrivage en Allemagne vers nier l’Euro 2024, les joueurs hexagonal sont méthodiquement questionnés sur les élections législatives et une réussite facultative du évaporé d’exagéré loyale à l’enseignement du allié succession, dimanche 7 juillet.
Marcus Thuram et Jules Koundé ont par conséquent brutalement demandé à agir obstruction au RN tandis que le skipper des Bleus Kylian Mbappé et le atmosphère Aurélien Tchouaméni se sont eux positionnés au prix de “les extrêmes”.
Les divergentes Bleus interrogés sur le tireur se sont contentés d’mugir à plébisciter tandis qu’Adrien Rabiot s’est démarqué en estimant qu’il ne fallait pas que le pellicule paradoxe “parasité” par la tourment des législatives et qu’il serait “bien” de la “laisser un peu de côté”, complet en appelant pareillement à plébisciter car “l’avenir” du contrée “est en jeu”.
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