“On va te tuer” : une médiateur agressée et menacée de glas alors d’un match oecuménique de jeu de boules à Marseille

Ce dimanche 30 juin, alors du Mondial La Marseillaise à jeu de boules, une médiateur a été agressée. En bref, intégraux ses confrères se sont mis en recul, lundi 1er juillet. 

Tout est évaporé sur une rapport de porté. “L’arbitre ne lui a pas donné le point. Mais en toute transparence ! L’arbitre ne connaît personne, elle ne savait pas qui était les joueurs”, témoigne Patrick Grignon, médiateur directeur du coopération et élu en fonction de la agio nationale d’transaction, au computer de France 3. Pas satisfaits par cette limitation, les joueurs s’en sont toléré à l’médiateur.

“J’ai mesuré plusieurs fois avec la tirette et j’ai trouvé une différence. J’ai donc désigné le point, se remémore l’arbitre. Ils n’ont pas accepté parce qu’ils avaient perdu, donc ils étaient un peu violents envers moi. Ils faisaient des gestes… Une femme m’a mis le téléphone en plein visage, elle faisait une vidéo. Elle disait : “Voilà, regardez ! Voilà ! C’est sézigue ! Voilà sa culminant ! C’est sézigue !”“

“On n’est pas là pour se faire agresser”

Fort favorablement, un gardien se subsistait entre l’meute hostile. “S’il n’avait pas été là, elle se serait fait couper en deux. Il a pu tout filmer, empêché que ça se dégénère dans la violence”, ajoute Patrick Grignon, éternellement entre les colonnes de nos confères.

La page matrone, qui se dit “très, très choquée”, aurait pardonné des menaces de glas : “On va te tuer”, simplement impartialement des message racistes et sexistes. “Ils ont même été chercher du monde pour venir encore plus nombreux. C’est allé très loin. C’est inadmissible, il est hors de question qu’on agresse un arbitre. Je ne le supporterai pas. On n’est pas là pour se faire agresser, menacer de mort ou quoi que ce soit”, ajoute Patrick Grignon.

Alors que l’médiateur, qui en est à sa intermédiaire choc, entend marcher réprimande, l’synchronisation du match a annoncé qu’sézigue prendrait toutes les mesures capitaux envers corriger le nocivité.