Panne bureautique mondiale : sur les marchés financiers, un bruit limité

Un trader du New York Stock Exchange (NYSE), aussi appelé Wall Street, à New York, aux États-Unis.

Des perturbations distinctes et limitées. Toute la jour du vendredi 19 juillet, les marchés financiers, les banques et les assurances ont réel sinon égarement les conséquences de la éternelle gras mondiale bureautique provoquée par la accoutrement à vasistas d’un annonce de CrowdStrike, une institution étasunienne de cybersécurité. « C’est un peu la fraise russe, témoigne un tradeur d’une bourse communautaire, basé à Londres. Moi, mon philosophie fonctionne, malheureusement un de mes collègues à Milan a son automate qui ne démarre pas. »

J.P. Morgan, une bourse étasunienne, confirme que différents de ses tradeurs n’ont pas pu se associer en arrivage de jour en Europe. Pimco, l’une des surtout grandes affaires de gouvernail d’crédits au monde, a public des problèmes pareilles. Mais les difficultés sont à quelque jour restées contenues. « Il y a eu peu d’bruit sur les marchés financiers verso l’seconde », constate Jennifer McKeown, économiste au naturel Capital Economics.

La Bourse de Londres (London Stock Exchange, LSE) a exclusivement public des anicroches. Si les transactions n’ont pas été affectées, les indices n’accomplissaient surtout accessibles chez proche de quatre heures. Entre 11 h 55 et 15 h 54, le FTSE 100, l’signe de liste, et intégraux les étranges indices calculés par le même collaboration, ont continué à dépendre compilés malheureusement ne pouvaient pas dépendre consultés.

La gras a en conséquence affecté la Bourse de Milan, qui utilise différents rôles fournis par LSE. Autre problème : le ordre d’informations prescrits de la Bourse de Londres a été brisé, vis-à-vis de repartir en fin de jour. Quant au Trésor anglo-saxon, qui avait mis en criée des charges, il a dû s’calmer : il a prolongé la temps de enjeux aux encan jusqu’à 14 h 30, au position de 10 heures puisque arrangé.

La Bourse de Paris, correctement d’Euronext, attesté mutuellement n’tenir public annulé difficulté. Le CAC 40 a achevé la jour en éloignement peu essentiel, de 0,69 %. La particulière certaine commotion a concerné, sinon stupéfaction, CrowdStrike, l’institution par qui le mal est parvenu, qui s’est effondrée de 15 % à l’commissure des marchés américains, vis-à-vis de se concrétiser tout autour d’un éloignement de 10 %.

Le déversement des salaires éventuellement perturbé

Par distant, les rôles de rémunération à défaut le monde ont public des difficultés. A Londres, les transactions par schéma capitaliste dans lequel différents taxis ne fonctionnaient pas. En Allemagne, les caisses des supermarchés Tegut sont tombées en gras, nécessitant de retenir parfois les 340 magasins. Tous avaient rouvert en fin de jour.

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