Partager de fausses informations politiques sur les réseaux sociaux peut personnalité lié à un dépit de la être

Sur les réseaux sociaux, la désinformation est mondialement. Et si consigner les informations est à séquelle de intégraux, une minorité d’internautes décident de fractionner des contenus erronés, occasionnellement exprès. Une agence anglais a projeté hellénisme ce qui distinguait ces hommes et juger à elles motivations.

Partager des fausses informations sur la gouvernement sur les réseaux sociaux peut personnalité lié à un dépit de la être : la schizotypie, fiancé une agence attentat par Tom Buchanan de l’lycée de Westminster au Royaume-Uni, publiée entre la attraction Plos One.

La schizotypie constructrice est “un ensemble de traits comprenant la paranoïa, la suspicion et des schémas de pensée perturbés”, conformément les auteurs de cette agence. Ce dépit de la être “est associée à une prise de décision basée davantage sur l’intuition – et parfois sur des préjugés – que sur une pensée réfléchie et délibérée”. Les chercheurs soulignent complet aussi que cet forme témoigne d’une “motivation pour sensibiliser” sur un chapitre.

La soigné a porté sur 1916 Américains, divisés en quatre actions. La étrenne s’est cupide à la attache parmi les différences individuelles et la mesure des utilisateurs à fractionner ces fausses informations. La suivant agence a relativement sien analysé les raisons qui motivent ces hommes à fractionner de pareilles fausses informations. Dans la étranger agence, les participants, lequel les différences individuelles et les motivations ont été évaluées, ont été vénéré à une gamme de titres d’péripétie gouvernement, autant vrais que affecté.

Ils ont été invités à proclamer s’ils envisageaient de fractionner chaque personne d’parmi eux et s’ils les considéraient même véridiques. Dans la quatrième agence, les chercheurs ont évalué les tweets réels publiés par les participants. L’objectif subsistait de fixer si les facteurs identifiés entre les actions 1, 2 et 3 existaient associés au partition positif de fausses informations sur Twitter.

Manipuler et saupoudrer le appréhension

Le bilan des chercheurs est rien exhortation : un relie a affairé été indéniable parmi une schizotypie constructrice et le récit de fractionner des fausses informations, que les participants le fassent en usage de éclaircissement ou non.

“Alors qu’une série de motivations pour partager des informations politiques en ligne étaient associées au partage de fausses informations, deux semblaient particulièrement importantes : le désir de partager des informations politiques pour attaquer ou manipuler les autres, et le désir de partager des informations politiques pour sensibiliser l’opinion. Bien que les individus aient fait état de motivations différentes pour partager des fausses histoires spécifiques, ces deux facteurs semblent influencer le partage délibéré et accidentel de fausses histoires”, explique le relation.

D’après à elles explications, cette schizotypie constructrice est encore associée à une acquisition de décisions basée sur l’souffle pourtant moyennant sur des préjugés, de préférence que sur “une pensée réfléchie”. Si les chercheurs ne contestent pas la intrication présumée du développement, ils observent purement que les participants ont journellement personnifié la “sensibilisation” même intention administratrice avec fractionner des informations politiques.

Certains souhaitent complet aussi saupoudrer le tohu-bohu, en sachant congrûment l’délit des informations partagées : “Une autre caractéristique potentiellement importante est le ‘besoin de chaos’. Cette caractéristique reflète le désir de certains individus de perturber la société afin d’améliorer leur propre statut (actuellement marginalisé). Il a été démontré qu’il influençait la motivation à partager des informations politiques hostiles et les déclarations de partage délibéré de fausses informations”, soulignent les chercheurs.

Pour ceux-là, la complication est de principalement saisir les raisons qui poussent certaines hommes à fractionner ce style de fausses informations. “Comprendre plus en détail le rôle de la motivation, ainsi que les effets d’une schizotypie positive, seront probablement des thèmes productifs pour les futures recherches sur la désinformation”, concluent-ils.

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