Le palabre communal de Montauban, en Tarn-et-Garonne, étudiait mardi 16 juillet 2024 une délibération modificative de la circulation de étranges parcelles à la association Hotels invest plaisanterie (HIS), qui envisage la édification d’un recueil aubergiste en même temps que vue sur le parc des Plantes. Le espérance, déjà explication lorsque de son identification dix traitement mieux tôt, n’a pas assez de ameuter les passions.
Le soirée voyait conventionnel, il fut trouble. Et ce n’est pas l’sarcasme de Thierry Deville, l’additionnel aux capital de la localité de Montauban (Tarn-et-Garonne) et espion de la illustre délibération lorsque du palabre communal du mardi 16 juillet 2024, qui allait expirer le apparition des tensions. “Voilà un sujet plus simple où la sérénité va habiter les débats”, a-t-il prescrit interroger, en conséquence une précédente réalisé d’écusson dans quorum en emploi et oppositions.
La explication vient de ce fait de cessions de étranges parcelles propre à la localité en patronage d’un développeur, à connaître Hôtels invest plaisanterie (HIS). La association prévoit la édification d’un recueil aubergiste en même temps que vue sur le parc des Plantes. Une rapacité écart par Jean-Louis Zevaco, déjà commanditaire de étranges établissements du même acabit dans le Pays surface et l’Aude.
Un rythmicité du espérance
“L’idée du porteur de projet est de cadencer la construction du chantier en deux étapes avec, dans un premier temps, un hôtel trois étoiles et des logements, puis le reste du projet”, explique Thierry Deville. Ainsi, la association HIS souhaite d’accueil subjuguer une gagnante part de 1730 m², au position des 3355 m² d’primeur afin le espérance quantité – laquelle il n’est mieux corvée en état dans lequel la délibération soumise –, afin un progressant de 689 350 euros excepté fisc.
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Parmi les opposants au espérance, Sandrine Lagarde, mentor municipale… d’contre-pied. “Ce projet est loin de faire l’unanimité auprès de vos concitoyens. Pourquoi y a-t-il aujourd’hui un changement d’envergure du projet ?, a-t-elle questionné. Certains riverains des futurs hôtels sont présents ce soir en mairie, ils attendent vos réponses et celles de M. Zevaco depuis un an. Qu’attendez-vous pour les informer ?”
Une voie en même temps que les riverains
“Nous les avons rencontrés et une médiation a été ordonnée par le tribunal. Il y a eu une petite période d’occupation intense pendant trois semaines”, a ironisé Brigitte Barèges en signe aux législatives qu’miss a emportées le 7 juillet, “mais la vie municipale va reprendre son cours. J’espère que nous arriverons à avoir un compromis”, a-t-elle accentué.
Le ton est assurément monté croissant avers à Arnaud Hilion. L’émule de Mme Barèges au assistant clocher des municipales en 2020 a repris de maints arguments déjà évoqués lorsque de conseils municipaux passés ou mieux la prière pour le espérance “qui a recueilli plus de 2 100 signataires”. “Avez-vous pris le temps d’évaluer les conséquences exactes au niveau du trafic routier ? Des parkings ? Y aura-t-il des places réservées au jardin des Plantes ?”, a écroué le socialiste.
Un bouleversement de récompense des parcelles
“Je ne veux pas que vous fassiez de la désinformation pour affoler les gens. Nous n’allons pas bétonner le jardin des Plantes !, a défendu le maire. Pour les parkings, il pourra y avoir des locations d’emplacements au niveau du parking de la cathédrale par exemple. Mais nous parlons là du premier projet, celui de l’hôtel trois étoiles, qui est exactement sur l’emprise au sol de l’existant pour optimiser les bâtiments. Le seul problème posé est avec les riverains. Mais nous essayons d’y remédier.”
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Rodolphe Portoles, l’œil coupant, s’est, lui, stupéfait du bouleversement de barème afin la circulation des parcelles. “De manière pragmatique, comment motiver de passer de 200 000 euros à 172 000 et 143 150 euros ?”, a précisé le communiste, puisque guide lieu d’Occitanie.
“Il y a un nouveau bornage puisque l’emprise au sol est diminuée, a répondu Brigitte Barèges. Pour tout vous dire, les pompiers ont sollicité qu’on élargisse la voie d’accès pour des raisons de sécurité.” Ce qui a valu un glose de son additionnel aux capital Thierry Deville : “Et si on fait une règle de trois, on se retrouve avec un prix au m² qui est plus cher !”, a accordé l’mandaté.
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