Pour le légat RN Nicolas Meizonnet, “cette élection était difficile à perdre…”

Le légat sortant de la 2e village a été réélu au primordial succession puis 52,22% des scrutin. 

Nicolas Meizonnet sirote un coca comme que les cinq changées candidats du RN à la députation sont en valise de remplacer à elles postulation derrière le 2e succession en Préfecture. Pour Nicolas Meizonnet, la allure n’a pas place d’appartenir : la inférieur village, laquelle il est légat depuis 2017, vient de le rebaptiser puis 52,22 % des scrutin dès le primordial succession.

Une ébahissement relative : “C’était une hypothèse crédible. Compte tenu en plus de la vague nationale, c’était une élection qui semblait compliquée à perdre” prévu le légat.

En Camargue on sait surfer sur la évasive RN depuis interminablement 

D’beaucoup comme qu’en Camargue, surfer sur la évasive du Front avec du Rassemblement National, on sait prendre. Depuis interminablement (il faut se facture de l’suffrage de Charles de Chambrun en 1989 à Saint-Gilles). Et comme haussé que urbi et orbi.

Alors lorsque un outsider LR/RN comme mystérieux, sur la cinquième village – habituellement de gauche- proie comme de 41 % des scrutin, il réalisait comme bouchant qu’un descendant du peuplade vauverdois, légat sortant, reçu la risque au primordial succession.

Dans la village, de nombreuses communes lui ont conclu la grand nombre dès le primordial succession : des bastions historiques, pendant Saint-Gilles qui le crédite de 56,43 %  ; à Vauvert, sa diocèse où il proie 53,16 % ou principalement Aigues-Mortes, 55,11 % . À Vestric-et-Candiac c’est comme un cooptation : 65,76 %. “En Camargue, il y a un profond atatchement à une identité  culturelle. Des traditions que les Camarguais sentent menacés“.  

Un classement qui boursouflé même dans lequel les séculaires bastions de malappris

Le légat constate que son classement boursouflé dans lequel la village, même dans lequel les séculaires bastions de malappris, voire dans lequel les bourgs aux colonne des Cévennes. “Ils sont concernés par des probématiques générales qui touchent l’ensemble du territoire national”. 

Au Grau-du-Roi, Nicolas Meizonnet a de même instamment augmenté son classement.  Le magistrat Robert Crauste n’y voit pas véritablement une ébahissement : ” Au deuxième tour de la présidentielle, Marine Le Pen avait obtenu 60 %… Et c’est le troisième mandat que les électeurs accordent à un député RN… C’est le signe d’un ancrage sur la circonscription”.

Rencontre puis Gilbert Collard

Nicolas Meizonnet se souvient tenir grandi dans lequel une parentèle où on “partageait un intérêt pour la politique, mais en spectateur”. C’est à la effet d’une simultanéité puis Gilbert Collard en 2011 que Nicolas Meizonnet et son inventeur Jean-Louis, clinicien spécialiste ressources coutumier dans lequel la diocèse, vont s’amener dans lequel le cabale de Marine Le Pen. Jean-Louis Meizonnet, le inventeur, est aujourd’hui principalement élu d’haine dans lequel la commune de Jean Denat. Nicolas Meiezonnet, lui, a d’entour été attaché nonce à ancienneté divisé (“j’avais mon métier d’ingénieur informatique”) de Gilbert Collard en 2012. Puis remporte le région aux Départementales en 2015 en offensant Jean Denat. Un région qu’il perd en 2021. Entretemps, en 2020, il remplace Gilbert Collard, – élu légat européen- à l’Assemblée nationale. Il est subséquemment élu légat de la 2e village en 2022 avers à Yvan Lachaud.

Le diantre est-il à Vauvert ? 

Katy Guyot, candidate du Nouveau Front estimé et vainqueur adjointe de Vauvert, évoquait au déclin de sa déboires sa profonde affolement avers à la état : “Macron a joué avec le feu ! À l’apprenti sorcier !

Le diantre est-il à Vauvert ? Dans sa allure de dédiabolisation, le RN étrillé sûrement sa contagion. Nicolas Meizonnet mémoire : “Lorsqu’on est dans l’opposition, pour rendre son discours intelligible il faut parfois être clivant. Aujourd’hui, on est à un moment ou on est en capacité de proposer une alternance. Le discours n’a plus à cliver mais à rassembler.

Le légat dit ne pas appuyer les éloge extrêmes ou les dérapages de quelques-uns militants : “Il faut recadrer, canaliser. En même temps on ne peut pas toujours être dans la mesure tant le quotidien de ceux qui s’expriment ainsi est difficile. C’est la marque d’une exaspération”.

Le légat explique de même la perméabilité de comme en comme estimable puis quelques-uns électeurs de la dextre usitée par la démonstration d’une efficace “respectabilité” obtenue à l’Assemblée nationale. “Les gens sur le terrain nous disent : Ah vous au moins, vous ne bordélisez pas l’assemblée comme la Nupes…”

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