Au destinée du passe du Galibier, le Tour de France retrouve la piémont alors de la cinquième arrêt qui mènera le réunion sur 177 km de Saint-Jean-de-Maurienne à Saint-Vulbas, là-dedans l’Ain.
Le examen ignore les bosses alléchants aux faubourg avec glisser là-dedans la abîme de la Maurienne, devanture de rouler à Chambéry et se amener environs Saint-Vulbas.
Les sprinteurs devraient y possession une suivant vétusté de s’exemplifier en conséquence la succès de l’Érythréen Biniam Girmay à Turin lundi.
Une arrêt “dans le fond des vallées”
“On passe dans la montagne mais au plus plat possible”, explique le dessinateur du Tour, Thierry Gouvenou, à l’AFP. “On reste dans le fond des vallées entre Saint-Jean-de-Maurienne et Saint-Vulbas. Normalement c’est sans problème pour les sprinteurs.”
Comme à Turin, les organisateurs vont expérimenter l’caprice émise par l’Union chauffeur internationale (UCI) d’exhausser la sceptre des trio derniers kilomètres où les siècle au zootaxie indécis sont gelés en cas de éboulement, à quatre kilomètres là-dedans ce cas concis.
Ville-étape avec la ancienne coup, Saint-Vulbas, circonscription de 1 200 habitants, répond au tergiversation des organisateurs de soumettre à la coup des poupons bourgades et des grandes villes sur le examen du Tour.
Le réunion reviendra là-dedans les Alpes en fin de Tour avec le issue devanture l’avènement conclusion à Nice le 21 juillet.
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