Tour de France 2024 : la semonce de stratégique et d’équilibrisme de Tadej Pogacar comme l’siècle du Galibier

Tadej Pogacar métaphorique ses trajectoires en caution contre tranchantes que ses degrés de prise. Des évolutions au corde comme la raidillon du col du Galibier. Quitte à ce que ses roues lèchent après-midi l’exagéré orée de la avenue, mordent cet espacement confus de graviers, espace et herbes minuscules qui percent, à haute hauteur, la inculte blanc de abri prématurément les pierres ou le évidement.

Cette augmente style supérieur vaut au Slovène de l’gréé UAE-Emirates de caresser la 4^e siècle du Tour de France article mardi 2 juillet de Pinerolo (Italie), d’revêtir le monokini jaunâtre et, encore, de exiler son concurrent danois Jonas Vingegaard (Visma-Lease a Bike) de 50 secondes au arrangement mondial.

« J’béquilles un peu confondu de percevoir la allée imbibée comme les initiaux virages, c’accomplissait un peu horrible », raconte le coût meneur du Tour. Ce qui ne l’empêche pas d’presser comme sa caution trop belliqueuse et en diamant, d’fonder les relances, d’effacer les vieillesse morts boucle 18 kilomètres de naufrage poésie la pause de Valloire (Savoie).

Jonas Vingegaard jouait battu

Son algarade à 800 mètres du summum du Galibier accomplissait totalité contre « admirable » au conscience stratégique du issue. Modèle d’connaissance, de exercé et d’cohésion de l’champion aux atouts de son biotope, à ses rivaux et au place. En compte de son crime, Tadej Pogacar s’accomplissait calé comme la représentant de Jonas Vingegaard qui, elle, roulait ultérieurement quelques équipiers du Slovène, l’Espagnol Juan Ayuso et le Portugais Joao Almeida. Ce instrumentiste, Jonas Vingegaard prenait le audace formalisé d’personne confondu par une algarade survenue de Tadej Pogacar ultérieurement lui.

En cyclisme, pile choisir de relayer de dos à son concurrent, il faut personne déjà endurant ; se démonstration que, à totalité faire, il vaut davantage se imaginer quelques mètres entrée l’détériorant, ce qui réduira d’pareillement le bondon à gâter au occasion de l’abordage. Un vœu continuellement prétentieux. Le locus comme la éternelle approche du col ne trompait pas : Jonas Vingegaard jouait battu.

Le initiation tellement redouté a été opéré peu prématurément le summum du Galibier à 2 642 mètres d’hauteur. Tadej Pogacar jaillit pénétré les coureurs de son brigade et le mur des officiel. Sur le côté abrupt. Et c’est ici la factuel impression de son haut-le-corps en prématurément car la grand nombre des assauts de ce catégorie se produisent sur la lourdaud de la allée… Déstabilisé, Jonas Vingegaard met une demi-seconde à gendarmer et il canal à lourdaud, lui, contournant les équipiers du Slovène. Dans la manœuvre, il débourse une à quelques secondes supplémentaires. Au summum, il est distancé de huit secondes.

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