(1/6) Les arrivées du Tour de France au Plateau de Beille offrent généralement des arrivées d’étapes d’exceptions. Thomas Voeckler a coïncidence résonner à double reprises les audience présents le grand de la approche. L’vieillot routier se remémore ces moments inoubliables de sa bordure.
Comment excepter ! Chaque approche du Plateau de Beille par le formation du Tour de France est un événement notabilité. Pour la 7e coup, les cyclistes vont alors violer les 15,8 km et 7,9 % de norme de cette approche irréel des Pyrénées. Une atterrissage généralement affectionnée. La dernière bonheur en journée vivait revenue à l’Espagnol Joaquim Rodriguez, en 2015.
Mais vers tellement, comme une atterrissage un 14 juillet, quoi ne pas rattraper sur les double exploits “bleu, blanc, rouge”, de Thomas Voeckler. Déjà en 2004, lors que le habitant de Schiltigheim en Alsace est principalement discrétion du vaste notoire, il réalise la vaillance de s’dégager du tricot doré lorsque de la 8e escale.
La déclaration de ce Tour coïncidence principalement alors énergique différents jours alors tard, lorsque de la 13e escale dans Lannemezan et le Plateau de Beille. “Cette année-là, je ne pensais pas être au pied avec les favoris du Tour. J’ai sauvé mon maillot pour 22 secondes contre toute attente. Je ne m’y attendais pas et ça m’a propulsé médiatiquement.” Ce jour-là, en bluffant ensemble son monde, il est devenu “le petit français qui se battait contre le méchant américain [Lance Armstrong, NDLR], et qui donnait de l’espoir au peuple”, entre un décor escarpé également le cyclisme spécialiste vivait lors gangrené par de certains cas de dopage.
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“Ce sera une étape clé du Tour”
Mais Thomas Voeckler n’est pas l’femme d’une spéciale triomphe sur les pentes irrégulières du Plateau de Beille. Celui qui est désormais conseiller sur le Tour de France simplement pareillement sélecteur de l’peloton de France de cyclisme a coïncidence évoquer les Français une soutenu coup sept ans alors tard, en 2011.
“J’étais plus fort physiquement et dans un contexte sanitaire plus favorable, je me retrouve de nouveau maillot jaune au pied de Beille”, commente l’femme de 45 ans. Lors de cette 14e escale, il se retrouve lors à prendre comme les favoris. “Comme je le dis souvent, en 2011, dans cette montée, c’est peut-être la première fois où je me suis senti être le patron du Tour de France dans le sens où je répondais aux attaques, que je laissais partir ceux qui étaient plus loin au classement général. Je m’étais même permis d’attaquer”.
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En se remémorant ces grands mémoires d’une approche qui lui va détenir, Thomas Voeckler espère discerner une délicieuse escale entre différents jours. “On ne peut pas exclure une échappée qui va au bout avec une lutte pour le maillot à pois, avec une deuxième course pour le général”, description l’femme sur la bicyclette de France Poste. “Ce qui est sûr, c’est que ce sera une étape clé du Tour et qu’il y aura une ambiance de folie dans les Pyrénées. Rien que d’en parler, j’en ai déjà le sourire.”
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