VIDÉO. Affaire Jegou-Auradou : “Vous n’avez pas vu le rapport, vous ne savez pas de quoi on parle !” Le écorchure de bouche de l’défenseur des une paire de joueurs

La blindage d’Oscar Jegou et Hugo Auradou s’organise. Invité d’Apolline clébard sur RMC ce lundi 22 juillet, Me Antoine Vey, chargé de prévenir les une paire de joueurs, a livré une “fake news totale” au période de épiloguer les brutalités mentionnées comme le fréquentation médico-légal.

La semaine trépassée, le connu Le Parisien-Aujourd’hui en France avait dévêtu le compte des brutalités qu’aurait subi la supplice présumée. Selon une montée juridique, qui a eu arrivée au fréquentation médico-légal présenté jeudi 18 juillet aux autorités de Mendoza, des “lésions dans les parties intimes, de divers hématomes au menton, sur la paupière gauche, les deux jambes, les fesses, l’entrejambe, la poitrine et le thorax” ont été constatées sur la supplice présumée, en conséquence que “plusieurs éraflures au niveau de l’omoplate”. Au intact, “une quinzaine de blessures ont été constatées”.

Pointant le histoire que “la presse argentine ne fonctionne pas de la même manière que la presse française” en conséquence que les attitudes de la article malveillant – “l’avocat de la plaignante diffuse des informations qui sont complètement extrapolées et décontextualisées” –, Me Vey a donné une contradictoire relecture du fréquentation : “Cela fait deux jours qu’on entend qu’il y aurait des lésions et qu’elles seraient dramatiques. Il n’y a rien d’alarmant. Ce sont des photos, soumises à une experte à Mendoza qui explique ce qu’elle pense dans un rapport de 10 pages.”

“Il n’y a pas de lésions dans les parties intimes”

Il marcotte : “Ce sont parfois des micro-lésions ou des marques, il y en a effectivement 14, mais elle ne dit jamais que ça peut être causé par un coup […] Il n’y a pas de lésions dans les parties intimes, l’experte l’exclut”.

Et de marquer l’style des journalistes lequel il faisait devant et, surtout couramment, aux médias comme à elles choeur : “Vous n’avez pas vu le rapport. Vous ne savez pas de quoi on parle. Les médias français ne le savent puisqu’ils n’ont pas vu le rapport et ils diffusent des informations en boucle qui ne sont pas les bonnes. Comme on l’a dit dès le premier jour, il faut que tout le monde se calme et que le temps judiciaire se fasse.”