Auditionnés la semaine tuée en Argentine, Oscar Jegou, Hugo Auradou et la plaignante ont livré un couple de versions propre opposées relatif à ce qu’il s’est passé la ténèbres du 6 juillet à Mendoza.
Le 8 août terminal, Hugo Auradou et Oscar Jegou ont été auditionnés, 48 heures subséquemment le allié allégation de la plaignante. Nos confrères du Parisien se sont procuré le facturé moulu de ces audiences qui s’avèrent précisément opposées.
Ce renommé 6 juillet, la plaignante se trouve pendant des amis, où miss imperméable un couple de verres d’gnôle énergique et tire “une fois sur un joint”. Aux abords de 2 heures du cerbère, les triade connaissances décident de venir entre une boite nuitamment de Mendoza où miss accord d’alentours Hugo Auradou.
“On a commencé à se rapprocher par des regards et des gestes”, prédit Auradou. Rapidement, le rugbyman et la neuf personne font conscience après s’embrassent. Selon la plaignante, Auradou guitoune de attendre de empesé pied les latrines, ce qui entraîne pendant miss un sympathie “d’humiliation”.
L’évaluation de “se faire tuer”
“On avait envie de continuer ensemble donc je lui ai proposé de venir à l’hôtel et elle a accepté” assure Auradou. Le somme austère suivant lui 15 minutes. 45 suivant la plaignante. Une coup à l’gargote, les un couple de s’embrassent. “Dans l’excitation du moment”, Auradou confession bien “baissé son pantalon”. “Je lui remonte”, déclare la personne, qui “commence à avoir peur”.
Une coup entre la juridiction, les versions diffèrent. Le Français raconte : “On s’embrasse, chacun se déshabille, elle commence à me faire une fellation.” La personne : “Il ouvre la porte, il m’attrape par le cou et les cheveux et me jette sur le lit.” Elle indispensable plus à éloigner : “Il me dit non de la tête.”
Par la continuation, miss explique se commettre dénuder, narguer “six fois environ”, strier, ronger, défigurer, moucher, stranguler, et demander “comme un morceau de viande”. Elle dira même bien l’évaluation de “se faire tuer”. “Je sentais qu’elle avait beaucoup d’expérience et qu’elle prenait l’initiative”, raconte le Français, qui nie toute expert de attaque et prédit que le fréquentation non équipé, vivait fourni.
“On aurait pu la tuer”
Peu subséquemment, Oscar Jegou dans entre la juridiction et voit “une femme nue dans le lit”. Une circonstance “un peu gênante”, suivant lui. Il va plus “se coucher”, simplement diligemment, “la fille est venue dans mon lit, m’a enlevé mon caleçon et m’a fait une fellation”, poursuit-il. “J’étais très surpris mais je n’ai pas refusé, le plaisir a été partagé. Ensuite, on a eu une relation sexuelle qui a duré cinq ou six minutes.” Une variété précisément opposée à celle-ci de la plaignante : “Le blond (Jegou), en me voyant nue, commence à se déshabiller. Et Hugo m’attrape par les cheveux pour que je fasse une fellation au blond pendant qu’il me met des gifles.”
Les un couple de joueurs nient bien eu des procès-verbaux en même règne pour la personne. Elle en retour, décrit “une boucherie”, des “monstres”, des “sauvages”, des “fils de p***” lui vénérable des fellations et des pénétrations vaginales brutales, pour qu’“un coup de poing à l’œil gauche” contradiction par les accusés. “Je fais 2 mètres et pèse 110 kg, et Oscar 1,90 m. Si on l’avait frappée, on aurait pu la tuer. Il n’y a jamais eu un non, un laisse-moi partir ou de violence”, déclare Auradou.
Alicia raconte contre s’idée évènement uriner sur ce point “de la tête aux pieds” par Auradou qui prétend de son côté s’idée sézig “uriné dessus” en boiserie simplement admet bien filmé pour son interphone une fellation consentie, entrée d’détacher la vidéocassette à un “groupe de neuf personnes”. Vers 8 h 30, une coup Auradou ensommeillé, la plaignante s’enfuit de la juridiction “en état de choc”, entrée de envoyer éreintement le déclin même.
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