Le abbé de la ménagère qui accuse les rugbymen métropolitain Oscar Jegou et Hugo Auradou de brutalités aggravé a débuté la réflexion pendant lequel la lourd mercredi 7 août, racontant pardon l’choc avait “détruit” sa descendance.
“La douleur est immense”. Le abbé de la plaignante de 39 ans qui accuse les rugbymen Oscar Jegou et Hugo Auradou de brutalités aggravé est déterré du suspension mercredi 7 août, racontant, pendant lequel un entrevue au Parisien, la sanction provoquée par l’choc et les retombées sur sa descendance.
ud83dudd35 EXCLUSIF | Le abbé de la ménagère médisant les un duo de rugbymen métropolitain, Oscar Jégou et Hugo Auradou, de brutalités aggravé en rattachement a débuté la réflexion moyennant la baptême coup, ce mercredi, pendant lequel nos colonnes.
ud83dudcac «Une affliction exagéré moyennant toute la descendance»
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— Le Parisien (@le_Parisien) August 7, 2024
Cet médiateur transparent, qui n’a pas souhaité indiquer son souveraineté, a éclairci au aisé pardon il avait étudié la récit. “J’étais en vacances, loin de Mendoza. Ma famille n’a pas tout de suite voulu m’expliquer en détail. Ça m’a détruit”, se souvient-il. “La douleur est immense pour ma sœur et toute ma famille. Mon père et ma mère sont brisés moralement”.
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“Chaque membre de la famille le vit d’une manière différente. Quand tu imagines ce que ma sœur a vécu… Ça nous procure une douleur immense. Mon petit frère fait des cauchemars, il souffre lui aussi d’une forme de stress post-traumatique, comme s’il avait vécu les faits”, ajoute-t-il.
“Mon père a commencé à se taper la tête contre le mur”
Sa sœur, qui accuse les un duo de joueurs du XV de France de l’tenir poursuite et violée à hétérogènes reprises, “est brisée, détruite moralement et physiquement”, souligne-t-il. Le futur des faits présumés, “elle est rentrée à la maison. Elle avait honte au début. Elle a fait une sieste. Puis elle a courageusement parlé à mes parents, leur a montré les marques (sur son corps). Elle a voulu faire quelque chose rapidement avant qu’ils (les joueurs) ne quittent le pays. Ma mère était sous le choc. Mon père a commencé à se taper la tête contre le mur. Littéralement.”
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L’être dénonce pareillement le solde juridique conclu à l’choc. Selon lui, “le fait que les accusés aient obtenu si rapidement le placement en résidence surveillée (le 17 juillet, cinq jours après leur mise en examen), ça pose forcément question […] C’est un avantage accordé à deux joueurs de rugby connus, qui sont représentés par un avocat (Rafael Cúneo Libarona) dont le frère est ministre de la Justice. C’est quelque chose d’étrange.”
Mettant en face à “des éléments incontestables”, le abbé se dit “à 100 % convaincu qu’il y a eu un viol qui justifie une mise en examen”.
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