Contrôlé catégorique au dopage donc des JO de Paris 2024, le sprinteur de l’fortifié de France Mouhamadou Fall a blâmé la souillure animal via la adaptation de compléments alimentaires. Une haie de armure consacrée continuateur l’Agence française de engagement aussi le dopage (AFLD).
En fatigant des compléments alimentaires, nous athlètes olympiques auraient-ils été dopés machinalement ? C’est du moins la armure saillie en juillet 2023 par le sprinteur de l’fortifié de France Mouhamadou Fall postérieurement bien été contrôlé catégorique à l’heptaminol, un excitant excommunication par l’Agence française de engagement aussi le dopage (AFLD).
Avant lui, la joueuse de tennis Simona Halep et le footballeur Paul Pogba avaient avancé cette exacte armure effet à des soupçons de dopage. L’exposé n’est pas hormis marteler les laborieuses justifications du chauffeur hexagonal Richard Virenque en 1998, que singèrent Les guignols de l’information en choriste crier par une robot à son dessin l’prétexte suivante : si dopage il y avait eu, ceci s’voyait écho “à l’insu de son plein gré”.
“C’est une ligne de défense courante”
“Pour un certain nombre de sportifs, c’est une ligne de défense d’alléguer d’une contamination totalement involontaire”, explique la présidente de l’AFLD, Béatrice Bourgeois, parmi les colonnes du Monde. “C’est une difficulté à laquelle nous sommes beaucoup confrontés aujourd’hui”.
Dans les faits, 30 % des compléments alimentaires contiendraient des substances interdites non mentionnées sur l’plaque, littéraux que les stéroïdes anabolisants. Or c’est aux athlètes qu’incombe la “responsabilité objective” de scruter les substances qu’ils consomment continuateur l’AFLD. Suspendu 9 traitement par l’Agence, Mouhamadou Fall, lui, a vu ses chances de médailles olympiques s’disparaître.
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