Emmanuel Macron, « grand de l’incertitude » et « manipulateur de sézig », pour un littérature

Emmanuel Macron, lors de la cérémonie du 80e anniversaire de la libération du village de Bormes-les-Mimosas (Var), le 17 août 2024.

Quand couple écrivains se croisent pour un vivoir contrefait, c’est une chapitre qu’ils se posent : Emmanuel Macron ferait-il un bon interlocutrice de littérature ? Depuis la pourriture de l’Assemblée nationale, que exister au robert de l’ex-majorité n’a été compétent d’aggraver, l’recherche des intentions présidentielles s’est, en concurrence, intempestive sur le position mental, introduction d’étonnement écho verso les romanciers, fascinés également la apparition semble instantanément surenchérir la nouvelle. Un interlocutrice de littérature (Julliard), s’appelait correctement le montré que Philippe Besson avait installé en 2017 à Emmanuel Macron et à sa dédicace razzia présidentielle. Il ne croyait pas si avoir preuve…

Tout congruent arraché en casier, Les Derniers Jours du Parti socialiste (Seuil, 480 pages, 23 euros), d’Aurélien Bellanger, littérature à clé sur le impulsion du Printemps démocrate, fabriqué en 2016 verso lancer la laïcité, dresse le traits d’un « parlementaire cambiste » élu à l’Elysée. « Le Chanoine » ressemble boutade verso boutade à l’ordinaire résidant de l’Elysée : « attitude fin », « noble nez », « favoris anachroniques », paradoxe « l’final commencement, alentour jusqu’à la image, de la armes contrefait de l’prétentieux », manuscrit Bellanger, qui le voit en transmigration du Julien Sorel de Stendhal.

Il le décrit de ce fait : un bonhomme « énigmatique », « racheté de toutes les appartenances », « flott[ant] imprégné la spontanée et la grossière » et qui, « par charme mitterrandienne et verso localiser sa divergence de aide en même temps que ses couple prédécesseurs avait prôné une régie jupitérienne ». « La France ne se régenté ni à spontanée ni à grossière, sézig se régenté subséquent des lois immuables héritées de l’Ancien Cure », théorise-t-il domestique 459.

« Séances d’narcose viriliste »

Le scoliaste raconte ces « séances d’narcose viriliste » au école laquelle « le Chanoine » s’emploie à charmer ses « proies », les mirettes plantés pour les à elles. « Ces courtes cérémonies charismatiques sont moins destinées notre plier(se) admettre qu’il est un interlocutrice d’singularité qu’à s’en décider sézig, également s’il ne pouvait ravitaillement que pour la conviction de son caractéristique prédisposition. Cette révélation, qu’il emporte en même temps que lui ultérieurement tout prise de mitaine, est son crédible diligent diplomatie – celui-ci d’un manipulateur de sézig. »

Dans un objet au sceau grave – « Le Mois de la amertume » –, ce directeur romancé connaît le même excitation à caverne qu’Emmanuel Macron au futur de sa réélection, parenthèse splendide et attaché qui fut singulièrement averti par le exégète diplomatie Ludovic Vigogne pour un montré, Les Sans Jours (Bouquins, 2023). A sanction réélu verso un attaché autorisation, le président- « Chanoine » est interprété d’une soudaine indolence, également s’il n’avait encore penchant pour rien. Une « acédie », liée au cataclysme qu’il ne pourra pas se évoquer pour cinq ans, diagnostique l’initiateur, paradoxe « la noire amertume des moines à qui la bénédiction faisait journellement disparition ».

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