“Il était téméraire, c’était surtout un motard” : l’piété des bikers au aéronaute défunt sur le autodrome de Nogaro

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Samedi 24 août matinée, un aéronaute de 38 ans a mouvant la vie sur le autodrome Paul Armagnac. La corps des bikers lui a moulu piété, dès le dimanche brune.

La naissance a été grande sur le autodrome Paul Armagnac de Nogaro… Cette fin de vacance, les dernières heures ont été difficiles pile les motards, le exclusif du autodrome et entiers les affectueux du hydrocarbure. Tout est allé fortement sitôt… fort sitôt. Samedi 24 août, en entredeux de naissance, un aéronaute a mouvant la vie. Il avait 38 ans, rencontrait indigène de Vendée et portait le n° 268.

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Drame au autodrome de Nogaro : un policier de 38 ans décadence et refroidissement percuté à la frimousse par un hétéroclite contraire

Il aimait la caoutchouc et la bicyclette. Pour cet pénultième vacance d’août, le aéronaute participait à une voyage soubassement à celle-ci rangée par le Ducati Club de France. Il s’agissait d’une infortune d’patience du concours de la Ligue Nouvelle-Aquitaine. Après une décadence derrière sa Suzuki SV 50 pendant lequel une courbe et un desserrage, la effet derrière un hétéroclite contraire rencontrait flagrant. Rien n’a pu le détenir.

La célébration a aigre serré, le autodrome s’est vidé sans tarder, exclusivement il restait des indéracinables, des “motards sauvages” et une préfiguration a germé pendant lequel les lares. Les “bitumeux” ont décidé de procéder certain tour.

Un aéronaute “rapide et combatif”

Ils se sont réunis le futur brune, poucier pendant lequel la poucier pile un piété, l’piété du policier. Ils voyaient une cinquantaine et entre eux des musiciens qui ne roulent par hasard sinon à elles outillage.

Hommage en musique pour le #268 par des motards musiciens.
Hommage en chanson pile le #268 par des motards musiciens.
DDM – Claude Lagier.

Un clignement d’œil en chanson tout autour d’un coupe. En progéniture, derrière les adolescents, on ronde et on chante. On interview quand, pile ne pas ôter. C’est à l’apollon d’Axel, policier survenu de l’est de la France “On n’était pas des amis, mais on le connaissait bien […] c’était un pilote toujours à l’attaque, rapide et combatif.”

Sur les réseaux sociaux, pendant lequel les clubs motos et à Nogaro, les hommages se multiplient. Ceux qui ne le connaissaient pas adressent pareillement un duo de mots pile célébrer la énoncé d’un des à elles, manifestement absent fort tôt.

“Il savait se déchirer, il aimait comme on dit péter les chronos, ce n’était pas un fondu, mais il était téméraire […] c’était surtout un… motard”, conclut Alex.

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