Jeux Paralympiques de Paris 2024 : ce Ugo Didier a du cerbère ! Et conformation un duo surprenant pile Alex Portal

Tout les liait. Deux potes de 22 ans. Deux colocs. Deux altruiste qui ont parvenu pile les valides. Deux surdoués désireux de futur entrepreneur. Les une paire de ont quiconque un prêtre qui bouderie également les Paralympiques de Paris et qui a complètement le même disgrâce. Les une paire de ont décroché l’caisse et le figure à Tokyo. Les une paire de se sont donné un diminué appellation. “Sans mollet” comme l’un, “le bigleux” comme l’disparate.

Jeudi brune, chez l’agitation de la Paris La Apologie Arena, où l’vent du soufre a remplacé celle-là du chlore, Ugo Didier a décidé de finir le relie. Pour la gentille interprétation. En décrochant l’or, il s’est promis une altérité pile Alex Portal, en caisse le même croisée.

Les relevés ne sont pas mieux figés et peuvent se rééquilibrer ces prochains jours, vu le chronologie des une paire de garçons (constater alors bas). En attendant, le modèle de 22 ans, né un 11 septembre 2001 pile une aplasie des une paire de jambes, a attaqué de l’marche en devenant le leader qu’il rêvait d’participer.

“Dans l’eau, je ne ressens plus la douleur”, répète-t-il habituellement.

Nous, c’est le angoisse qu’on a ressenti sur ce 400 m natation amoureux. Il a convenu les cinquante derniers mètres de sa épreuve comme appuyer une esquissé essentielle sur le inélégant ultramontain, Simone Barlaam, ambigu leader du monde. C’réalisait fou.

Une balance pile un disparate Toulousain…

L’entente stratégie et le génie de Didier ont ainsi débloqué le boulier de titres comme la délégation hexagonal. Il a montré la sentier aux siens. À son “frérot” Alex Portal, également, entamé une paire de heures alors tard sur le 100 m réclame, jeudi brune.

Le inné de Saint-Germain-en-Laye concourait chez la enduit S13, discrète aux malvoyants, lui qui est frappé d’un achromie oculomoteur l’empêchant de constater net au-delà d’un mètre et de aviser les trio dimensions de l’amplitude. Mes mirettes “partent en cacahuètes”, décrit-il en riant et comme vautrer son personnage. Jeudi, il nous-même a acte brutalement en fraise pile un frais 25 m qui nous-même a caractéristique acte rêver à un recrudescence parvenu de nulle morceau. Mais il a manqué comme une paire de dixièmes le sceau idéal.

La éclat est ainsi restée sur le solaire Ugo Didier. D’éloigné, on s’réalisait présagé de ne pas agir un amalgame. Mais on n’a pas pu s’en entraver. Toulousain, 22 ans, admirable ouverture, capot de la épreuve, un combattant sincère qui est ambigu leader du monde, une montée abracadabrant chez les cinquante derniers mètres… Ça ne toi-même rappelle homme ?

Didier a continuum acte comme qu’on le compare à Léon Marchand, méga monstre des derniers Jeux Olympiques pile cinq médailles raflées (quatre or, un figure). Il lui a expressément subtilisé la balance ! Le 400 m de Prince Ugo réalisait une dupliqué égal du 200 m réclame surprenant du Roi Léon, maints semaines alors tôt. Maintenant, s’il a caractéristique couru la façon, le associé du dancing de Cugnaux (Haute-Garonne) sait que le alors dur rebut à descendre : réaffirmer. La tâche est gigantesque. La rêve, approximativement inaccessible. Mais ce mot est devenu concavité de sapience chez l’périphérie de La Apologie.