À la quart de la mémento d’bâillement des Jeux Paralympiques de Paris 2024 qui se tiendra ce mercredi 28 août, le vainqueur paralympique de tennis trône en obscure à Brocard en 2008 est faveur sur la chicane qui entoure la caractère de ces athlètes de “super-héros”.
Une gageure au pixel. Avant le détonateur des Jeux Paralympiques de Paris 2024, qui seront lancés ce mercredi fête par la mémento d’bâillement sur la Place de la Concorde et sur l’voie des Champs-Elysées à quitter de 20h, Michaël Jeremiasz est faveur sur la chicane née de la caractère de « super-héros » contre remémorer les athlètes paralympiques.
Champion paralympique de tennis trône en obscure à Brocard en 2008 aux côtés de Stéphane Houdet, s’est catégorique ce mardi dogue sur France Inter. “Je ne suis pas un super-héros quand je me réveille le matin et que je dois venir à la matinale”, a-t-il lâché.
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Le organisateur de fonction de l’escouade de France a bulletin que “problème de l’héroïsation” occasion de Londres 2012. “Les Anglais de Channel 4 ont créé le mythe des superhumains, des super-héros, a-t-il déclaré. Maintenant qu’on est entré dans la lumière, le risque est de voir les valides fantasmer sur nos performances, ce qui ne nous sert pas au quotidien. On est la minorité la plus discriminée dans notre pays. On est en train de sortir du misérabilisme mais il ne faut pas que se bascule de l’autre côté.”
Jeux paralympiques de #Paris2024 : “Je ne suis pas un super héros quand je me réveille le matin”, assure Michaël Jeremiasz. “On est la minorité la plus discriminée dans notre pays depuis quatre ans.” pic.twitter.com/FBCIqO9STe
— France Inter (@franceinter) August 27, 2024
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“Personne n’a parlé de super-héros pour évoquer Teddy Riner et Léon Marchand, a également confié Michaël Jeremiasz. Dans le langage aujourd’hui, le super-héros est spécifique aux athlètes paralympiques.”
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Ces déclarations font consonance au cri du cœur lancé par Sofiane Mehiaou, guibole de l’escouade de France de basket trône, il y a une paire de jours. Ce terminal a recadré Teddy Riner, qui évoquait des “super-héros” ou des “Avengers”. “Faut vraiment que tu (Teddy Riner) arrêtes de parler de nous de cette manière, tu ne nous aides pas, avait-il avoué. On est ni à plaindre, ni à valoriser de cette manière !”
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