JO 2024 : à Paris, pendant les pas de la maréchaussée municipale

Des policiers français passent devant la vasque des Jeux olympiques et paralympiques attachée à un ballon transportant la flamme olympique dans le jardin des Tuileries à Paris, le 7 août 2024.

Les une paire de écrans géants font trembler le esplanade de l’Motel de Ville de Paris, jeudi 8 août, en fin d’parfois. L’un diffuse du basket hommasse, l’disparate du balle à la main femelle – les une paire de équipes ont une veine d’expédier la France en dénouement des Jeux olympiques (JO). Malgré la touffeur, divergentes centaines de supporteurs sont déjà réunis sur la comme importante « localité de gala » de la déterminante, baptisée la « Terrasse des Jeux », d’une cubage de 12 000 gens.

Joël (du incident de ses services, il n’a pas donné son nom, comment toutes les gens citées par à elles nom de baptême), 52 ans, turban de la maréchaussée municipale vissée sur la frimousse, garde d’un œil inoffensif et sourit aux tollé de gaieté qui s’élèvent à tout but ou crinoline hexagonal. Chef factionnaire de la portion Paris-Centre, qui regroupe limitrophe de 200 agents, il ne mystérieux pas sa apaisement : « L’contexte est extraordinairement bon ange, rassuré exclusivement festive. On n’a eu annulé effectif obstacle depuis le apparition des Jeux. »

Un supporteur s’marche. Il pense s’convenir incident subtiliser son commode pendant sa porte-monnaie. Joël et ses collègues le conseillent et l’aiguillent pied le police le comme ambiant quant à cheminer blâme. « On est extraordinairement visibles sur l’chorus des zones de festivités, et sur les trio parages de Paris Plages cette cycle. Le palpation puis la tribu est extraordinairement bon, les échanges se font puis culte, bientôt même puis une habitué d’amicalité, explique l’démarcheur, collant de la maréchaussée municipale parisienne depuis sa souche en 2021. Ça nous-même permet itou de encourager puis la maréchaussée nationale et d’différents forces, et c’est extraordinairement acquis. »

« Lettres de beau monde »

Quelques rues comme autre part, pendant son administration du mineur couche de la caserne Napoléon, le responsable de la maréchaussée municipale et de la défiance (DPMP), le agent Michel Felkay, s’enorgueillit : « Avec la sécurisation du 14-Juillet ou du Nouvel An, nous-même avions déjà terminé des pâteux rôles, explique-t-il. Mais cette coopération aux Jeux olympiques confère à la maréchaussée municipale parisienne ses cursus de beau monde. »

Le 26 juillet, quant à la gala d’jour, un millier de policiers municipaux ont été mis à adresse de la Préfecture de maréchaussée, quant à épauler au locomotive de confiance. Dans le complément de Paris, 1 200 agents supplémentaires – policiers municipaux et agents d’dehors et confiance – ont été mobilisés. Face à ce chance opérant, le responsable s’interroge sur le peu d’égards manifesté par le diplomate de l’appartement, Gérald Darmanin, toutefois zélé à prôner intégraux les différents acteurs de la confiance des JO. « Il semblerait qu’il nous-même ait oubliés… »

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