Remboursée de 1 000 euros sur les 19 000 dépensés moyennant établir les législatives : une bourgmestre d’Occitanie interpelle Emmanuel Macron

Ce lundi, la bourgmestre d’une rudimentaire familier de Toulouse en Haute-Garonne, a partagé sur les réseaux sociaux un courriel mandataire à Emmanuel Macron demandant le recouvrement des crédit alors l’règle des élections législatives.

Les élections législatives se sont tenues originellement de l’été consécutivement de la déliquescence de l’Assemblée annoncée par le dirigeant de la Ville alors le vote des européennes. Mais l’règle de ces élections à un dépense, ce que la bourgmestre de Pibrac, rudimentaire située à une quinzaine de kilomètres de Toulouse, n’a pas manqué de déclaration à Emmanuel Macron, rapporte France 3.

“Marre que l’on nous explique que l’on dépense trop”

“Monsieur le Président, au soir des élections européennes du 9 juin, vous avez pris la décision de dissoudre l’Assemblée nationale et d’organiser un scrutin législatif les 30 juin et 7 juillet 2024”, semblables ont été les initiaux mots de Camille Pouponneau au animateur de l’Note.

L’gâtée a posté son homélie sur Facebook. “Le saviez-vous ? La dissolution surprise du Président de la République a coûté 18 762 euros à la commune. L’État nous dédommagera d’environ 1 000 d’euros (sic !). Au total, cette dépense imprévue représente l’équivalent d’un an d’achat de livres pour la médiathèque, la moitié des fournitures scolaires achetées sur l’année ou encore le recrutement pour 6 mois d’une personne au service technique”, peut-on tourmenter sur le nattage accommodant.

En séquelle, l’règle de ce vote a symbolisé une crédit importante moyennant la rudimentaire qui n’subsistait pas prévue, et c’est la excuse de cette question de recouvrement. “Depuis l’arrivée du président de la République, on ne cesse de nous répéter que les collectivités sont responsables de la dette publique, et pourtant, depuis 10 ans, des décisions sont prises à Paris sans concertation qui impactent directement les communes. Marre que l’on nous explique que l’on dépense trop”, fustige Camille Pouponneau.

Les communes souffrent, particulièrement en excuse de l’alors Covid, l’augmentation des valeur exclusivement comme la excitation caissière occasionnelle des communes résolue par Emmanuel Macron, explique la bourgmestre de Pibrac. Sa question est sincère : “que vous reveniez donc sur le projet de loi de finances de votre majorité comprenant la baisse des dotations des communes en euros constants.

“Le manque à gagner dans les collectivités qui ne peuvent pas tenir d’élections uniquement par du bénévolat est colossal”, indique Jacques Oberti, bleu représentant et démissionnaire de son fortin de dirigeant de l’liaison des maires de Haute-Garonne contre de nos confrères de La Inédite.

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