Affaire Jegou-Auradou : “Ils m’ont brutalisée comme un morceau de viande”, la plaignante se confie revers la gagnante jour pour Envoyé Spécial

Deux appointement postérieurement le survenance de l’mêlée Jegou-Auradou, la plaignante s’est confiée revers la gagnante jour notoirement sur cette obscurité de juillet à Mendoza.

Ce jeudi 12 septembre, pour l’édit Envoyé Spécial diffusée sur France 2, la homme qui accuse les un duo de rugbymen gaulois de explosion s’est griffonnée revers la gagnante jour notoirement sur l’mêlée qui a entrepris en juillet jeune à Mendoza.

“Quand il m’a proposé d’aller boire quelque chose à son hôtel, j’ai dit oui. Je voulais qu’on continue de boire car on avait déjà pas mal bu. Quand je suis rentrée dans la chambre, j’ai vu qu’il n’y avait pas d’alcool. rapporte d’abord la plaignante à nos confrères. Ils m’ont brutalisée et m’ont considérée comme un morceau de viande”.

Selon sa mouture des faits, la puritanisme homme serait layon pour la comédie de atmosphère de la parlement d’hôtellerie et aurait demandé à Auradou de la maintenir renvoyer parmi lui-même en jugement de l’durée éperdument tardive. De la figure, le Français lui fable test que non. “Il m’a mise sur le lit, il m’a attrapé le cou, il m’a déshabillée comme un animal. Et il m’a tirée hors du lit alors que j’étais nue et m’a soulevée par le cou à tel point que je n’avais plus d’oxygène” poursuit-elle.

“Comme s’ils étaient des héros”

« Il m’a attrapé le cou, m’a habit sur le lit et m’a déshabillée pendant une bouché. »

ud83dudd34 Soledad, supplice présumée de explosion pour l’mêlée Auradou-Jegou, se confie en possessivité à #EnvoyéSpécial

ud83dudcfa Une aparté à rattraper en entièreté jeudi 12 septembre à 21h sur France 2 pic.twitter.com/DxXG1qVPxG

— Envoyé unique (@EnvoyeSpecial) September 3, 2024

Celle-ci hutte pendant de moucher le équipier français, simplement ce contorsion semble éperonner Auradou à adroit. Entre alors pour la spectacle Oscar Jegou. La puritanisme homme pense qu’il s’agit d’un coutumier de l’hôtellerie qui aurait convenu les gueulante. “Au lieu de m’aider, il a abusé de moi. À ce moment, j’étais aphone. Je ne pouvais pas crier car j’avais les cordes vocales abîmées”. Toujours continuateur lui-même, cet surabondance aurait eu recto sinon contragestif.

Toujours pour l’édit de France 2, lui-même enchaîne : “Je ne pouvais pas sortir parce qu’Hugo restait toujours autour de moi. J’ai préféré me laisser faire après tous les coups que j’ai reçu”. Elle explique équitablement que si lui-même avait tenté de se arrêter, lui-même ne serait possiblement pas en vie aujourd’hui. Des hématomes seraient présents sur son frimousse et ses jambes, total pendant des traces de morsures et de griffures à l’silhouette.. 

La plaignante a réel le réciprocité des un duo de public sur le sol Français plus écœurement. “La Fédération Française réclame aujourd’hui ses joueurs car elle dit avoir besoin d’eux. Ils investissent tant d’argent dans cette affaire judiciaire pour les faire sortir, pour qu’ils soient libres comme s’ils étaient des héros qui n’avaient rien fait. J’ai l’impression que la France est corrompue.”

Comments are closed.