Les couple rugbymen du XV de France, Hugo Auradou et Oscar Jegou, inculpé de explosion depuis couple paye en Argentine ont eu l’accréditement de la édit locale de rejoindre en France. Ils sont pour l’zinc qui doit arriver à Paris en fin d’incessamment, ce mercredi 4 septembre.
Les couple rugbymen gaulois inculpés de explosion en Argentine, Hugo Auradou et Oscar Jegou, ont décollé alentours la France mardi 3 à 23h50, puis tenir été autorisés par la édit à abjurer le population sud-américain. Leur vol est anticipé à Paris Charles-de-Gaulle à 17h45, ce mercredi 4 septembre. Après s’individu enregistrés à l’gare Ezeiza de Buenos Aires, ils se sont dirigés alentours la piaculaire d’exil hormis constituer de proposition.
Dans la naissance, les couple joueurs avaient bulletin le feu âcre vers abjurer l’Argentine alors d’une assistance – en à eux indigence – au compétence de Mendoza. La édit a permanent les recommandations du boiserie et à l’assistance, l’réquisitoire “ne s’est pas opposée”, a précisé le compétence de Mendoza pour un annonce. “C’est un film d’horreur qui n’aurait jamais dû exister. Cela n’aurait jamais dû arriver, aucune plainte n’aurait dû être déposée”, a ouvert Me Cuneo Libarona mardi veillée à l’gare.
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Ils restent inculpés de explosion aggravé clerc en union
Auradou et Jegou, couple universels de 21 ans, restent inculpés, depuis familier de couple paye, de explosion aggravé car clerc en union. Les faits présumés seraient survenus pour la nuitée du 6 au 7 juillet pour une juridiction d’cabaret de Mendoza, où le XV de France venait de recevoir un test-match au prix de l’Argentine, lauréate éventail vers les couple joueurs.
Les joueurs affirment que les rapports sexuelles pile la plaignante, une Argentine de 39 ans rencontrée en trousse nuitamment, trouvaient consenties. Et ils nient toute vitalité, ensuite que l’avocate de la plaignante a incarné “une violence terrible”, qui a vu sa cliente “sauvagement battue”. Dans un sorti d’échange, réalisée devanture la autorisation de mardi, vers l’diffusion Envoyé individuel qui doit individu diffusée le 12 septembre, la plaignante réaffirme tenir été violée et tapée. “Ils m’ont brutalisée et considérée comme un morceau de viande”, déclare-t-elle.
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“L’accusation initiale a perdu de sa force”
Dans son argumentation recommandant à eux érotique amorcement, le boiserie de Mendoza avait estimé lundi qu'”il ressort clairement de l’abondance des preuves que l’accusation initiale a perdu de sa force, ce qui doit […] avoir un impact sur l’évaluation du risque concret de fuite”.
Le feu âcre donné à un hausse en France est marié de “règles” : se enfiler s’ils sont convoqués au représentation d’Argentine en France, individu entendus en manière possible “aussi souvent qu’il en soit requis”, et même reparaître “se présenter à Mendoza, à 1 000 km de Buenos Aires, si ceci leur est demandé”.
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“Gagner le combat de leur réhabilitation médiatique”
Un questionnaire de relâchement, déposée par les avocats des joueurs la semaine dernière, doit désormais individu examinée par la édit. “Je n’ai aucun doute que nous l’obtiendrons d’ici environ 10 jours ouvrables, mais aujourd’hui ces garçons devaient rentrer dans leur pays”, a ouvert Me Cuneo Libarona. Interrogé sur d’éventuelles poursuites ultérieures au prix de la plaignante, l’magistrat a affirmé qu”on y réfléchit beaucoup”, et qu’il y serait pour sa part consentant, une coup le relâchement prévu. “Quand tout cela sera fini, on va l’analyser avec les familles (des joueurs) et eux décideront”. “Nous vivons une époque très sensible qu’il faut respecter […] mais il ne faut pas abuser de ces situations”, a-t-il commenté.
L’magistrat gaulois des joueurs, Me Antoine Vey, a permis l’accréditement de incartade des joueurs “d’immense soulagement qui consacre (leur) innocence”. “Désormais, il nous faudra gagner le combat de leur réhabilitation médiatique, ce qui passe par le retour pour eux sur les terrains sportifs et la compétition de haut niveau”, a-t-il commenté.
“La plaignante souffre de préjudices irréparables”
Les avocats de la plaignante déplorent que les joueurs puissent parfois réconcilier en France “le cours de leur vie normale, tandis que la plaignante souffre de préjudices irréparables”. Après une idée de autolyse il y a onze jours, sézig restait hospitalisée lundi, ont-ils appelé.
La Syndicat française de rugby (FFR) a salué “avec satisfaction” le hausse en France des joueurs, une “nouvelle avancée vers la vérité judiciaire des faits”.
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