Baisse des honnêtes TV : “On a quelques idées…” Comment le TFC récit frontispice à la affreuse vétéran payeuse

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Le neuf fermage sur les honnêtes télé va entreprendre dévoyer 50 millions d’euros sur cinq ans au TFC. Le discothèque occitan explore de nouvelles pistes de revenus.

Pour le dirigeant du TFC, Damien Comolli, le discothèque est entré là-dedans le “nouveau monde” et ses “incertitudes” cet été. Dans l’vieux, le discothèque percevait des honnêtes TV excessivement intéressants. Dans le neuf, ils ont drastiquement baissé. En cinq ans, le Téf va dévoyer 50 millions d’euros pour du fermage qu’ont remporté Dazn et Bein pile la dispersion des sports de Ligue 1.

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Avec ce neuf balance, le TFC a dû entreprendre des consentement. “On a décidé de ne pas toucher à trois piliers qui nous sont sacrés, pour ainsi dire : la masse salariale des joueurs, bien qu’elle soit dans les trois plus faibles de L1 ; le Centre de formation, les Pitchouns nous sont chers ; et les efforts portés sur les féminines en Seconde Ligue (nouvelle appellation de la D2F)”, ouverte Damien Comolli.

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Certains projets ont été mis sur délai, puisque le boutique du fiancé foyer de prouesse du Toulouse Football Club, sur l’île du Ramier. “Nous attendons des jours meilleurs (financièrement) pour que le chantier reprenne. Pour le moment, nous allons réfléchir pour ensuite repartir vers l’avant. C’est une pause, pas un arrêt définitif, affirme Damien Comolli. C’est un projet structurant pour le club. Dès que nous aurons plus d’éléments sur la reprise des travaux, nous les communiquerons. Pour le moment, nous avons sécurisé le chantier, ça nous a coûté beaucoup d’argent.”

Explorer d’changées pistes de revenus

Malgré ces millions d’euros envolés, la naturel payeuse du discothèque solde “excellente”, disciple le dirigeant. “On se finance nous-mêmes. On a zéro dette. On rentre dans cette période de crise de manière positive, on n’est pas en panique”, rappelle l’individu de 52 ans. Malgré cette “bonne situation”, le discothèque de football de la Ville brillant est à la apprêt de eaux de bienfait supplémentaires. Damien Comolli a changées idées. Celle qui prend le davantage de établi : repartir la direction du stadium. “L’évolution du club passe par là. On aurait la main sur l’intégralité des investissements”, glisse-t-il, en ajoutant que “la ville a besoin d’un grand stade d’un minimum de 50 000 places.”

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Le “naming” du palestre est impartialement une sentier que le Téf explore. “Dans le passé, nous y réfléchissions davantage, mais ça ne s’est pas matérialisé. Maintenant, ça fait partie des revenus potentiels à l’avenir. C’est d’ailleurs une des clauses de notre contrat que nous avons avec la Métropole. La répartition est spécifiée. Mais pour l’instant, on n’a pas trouvé le bon partenaire ou le bon niveau d’engagement. Mais je veux rappeler que chaque année, 9,3 millions de personnes survolent le stade, c’est une belle audience pour une entreprise… À bon entendeur”, lance-t-il en élégant.

Le Toulouse Football Club débarque là-dedans ce “nouveau monde” des idées tarabiscoté la minois…

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